Une fessée et au dodo !

24 des 28 pays de l'union européenne interdise la fessée, pas la France

Quoi de mieux qu’une bonne fessée pour dissuader un enfant de recommencer la bêtise qu’il vient de commettre ?

Entre nous, vous le pensez très fort : il y des baffes qui se perdent. Et il va être temps de remettre de l’ordre dans tout ce fourbi. N’hésitez pas, ressortez le bon vieux martinet qui faisait trembler les mômes jusque dans les années 80, la loi est (presque) de votre côté !

En France, si le code pénal vous interdit formellement de tabasser votre conjoint et de massacrer votre animal de compagnie, la jurisprudence vous reconnaitrait en revanche le droit de corriger votre chiard, dans le strict cadre familial.

Bref, vous pouvez lui administrer une fessée cul-nu, tant que personne ne s’en aperçoit et que vous ne laissez pas de traces. Et moi qui ai refusé le bottin cette année, quel âne !

La fessée en France

Prenons l’exemple de ce père de famille finalement condamné à 500 euros d’amende pour avoir infliger une bonne correction à son gamin de 9 ans. Si son procès n’avait pas fait l’objet d’une campagne médiatique aussi intense en octobre dernier, sans doute s’en serait-il sorti… sans une égratignure.

La France condamne évidemment sévèrement les violences sur mineurs, mais elle n’estime pas nécessaire de préciser sa pensée sur des « corrections éducatives » encore plébiscitées par 65% des parents, comme le précise un sondage réalisé en 2007 par l’Union des familles en Europe.

Non, vraiment, libérez-vous de vos complexes. Savez-vous par exemple que si de nombreuses personnes jugent la gifle dangereuse, 25% des parents en retourneraient volontiers une à leur mouflet à l’occasion ?

C’est bien connu, on apprend beaucoup mieux la vie à coup de tartes dans la gueule, non ?

La fessée en Europe

Oui, la France fait partie des derniers irréductibles, comme un village gaulois en perdition face à l’invasion romaine. Et alors ?

Ce n’est parce que 24 des 28 pays de l’Union Européenne ont totalement interdit la fessée qu’on va changer d’avis comme ça.

D’ailleurs, à le regarder de près, ce chiffre est plutôt rassurant. Il montre que nous ne sommes pas les seuls à calmer nos nerfs corriger nos mômes à coups de torgnoles. Preuve, s’il en faut, de l’humanité de notre approche éducative.

Et honnêtement, ce n’est pas la campagne du Conseil de l’Europe contre les châtiments corporels à l’encontre des enfants qui va faire fléchir le gouvernement français ! Nos élus le savent : la raclée, on y tient ! Pas question d’y renoncer.

Bon et sinon, quand est-ce qu’on l’interdit pour de bon cette fessée ?

Et vous ? Fessée ou pas fessée ? La loi française doit-elle être modifiée selon vous ? Pourquoi ?

Crédit photo : Boston Public Library

Article posté le 14 janvier 2014 et mis à jour le 20 mai 2021 dans Questions de parents

Par Olivier

Papa d'une petite fille belle comme le jour, Olivier est aussi le fondateur de Je suis papa en 2011. Même si sa photo de profil ne le montre pas, sa paternité lui a fait perdre tous ses cheveux, mais pas le moral. C'est déjà ça ! Convaincu que les enfants sont l'avenir du monde, il milite pour faire entrer Peppa Pig à l'Elysée. Un poil lunatique, il retrouve en général le sourire autour d'un bon verre de vin. 


98 COMMENTAIRES

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  1. Angelique
    le

    Avant d’avoir ma fille, je pensais que parfois une fessee pouvait etre necessaire. Et sans l’encourager, je trouvais presque stupide de faire une loi l’interdisant. Par contre, depuis que ma fille est nee (il y a maintenant 32 mois!), j’ai completement change d’avis et me rend compte, qu’il y a beaucoup d’autres moyens d’eduquer les enfants, et surtout que la fessee – ou toute autre « correction educative » n’apprend rien aux enfants.
    Ma fille obeis (pour le moment!) non pas parce qu’elle a peur de s’en prendre une, mais parce qu’elle comprend pourquoi…

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  2. Clairou
    le

    Bon alors sujet compliqué, avis partagé….

    J en arrive là quand le dialogue ne marche pas, quand le coin ne m aide plus, et quand la privation n empêche pas le monstre de continuer…

    Bon ok j ai aussi compris que ça ne servait à rien…. J ai trouvé la solution!!!!
    Le  » tu n existes plus » , je ne joue plus, je te parle plus et je vaque à mes occupations…

    Ce que je comprend pas c est qu on fait une montagne d une féssée et que quand un enfant se fait tabasser régulièrement, il se passe du temps avant que quelque chose bouge…. Ce n est que mon ressentit biensur….

    Une claque me choque plus qu une fessée…

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    • Angelique
      le

      Je suis totalement d’accord avec toi, la gifle me choque beaucoup plus que la fessee. Et j’avoue que si quelqu’un que je connais utilisait la fessee, ca ne me choquerait pas plus que ca. C’est juste que ce n’est pas la methode que moi j’ai choisi d’utiliser, mais je respecte le choix des autres (a conditions qu’on ne parle que de petite fessee, bien sur, pas de frapper les enfants).
      Par contre, c’est vrai qu’on peut parfois sentir qu’il n y a pas d’autres solution: l’autre jour, alors que je lui changais la couche, ma petite m a donne un coup de pied dans le ventre, puis un autre, et encore un autre. Je lui ai demande d’arreter en lui expliquant que ca faisait mal, mais elle a continue de plus belle. Du coup, je l’ai mise debout, pour lui repeter d’arreter…et la elle a essaye de me donner une gifle. je lui ai attrape les mains en lui demandant encore d’arreter…et la, elle essaye de me mordre! (je precise, elle n’est pas violente du tout, c’est la premiere fois que ca arrivait; probablement fatiguee de sa journee chez la nounou). La situation escaladait de plus en plus, et il n y avait rien a faire, je n’arrivais pas a l arreter. Ca la faisait rire, meme quand je me suis mise a gueuler fort. Pendant une seconde, je me suis dit que la seule facon d arreter ca, ca allait devoir etre une gifle ou une fessee….Et puis tout a coup, plutot que de faire ca, je l’ai reposee par terre, et j’ai quitte sa chambre. Et ca a suffit. Elle a bien pleure, puis est venu me voir en me disant « pardon maman ».
      Comment aurais je pu lui apprendre qu’il ne faut pas taper, en lui donnant une fessee?!

      Quand rien d’autre n y fait, le « tu n’existe plus », « je vaque a mes occupation » est je trouve ce qui marche le mieux!

      Répondre
  3. Maman et Toussa Toussa
    le

    La fessée oui mais qu’entre adultes hein!
    Une gifle encore moins cela me choque et c’est vraiment très violent!

    En même temps la mienne n’a que 19 mois… 😉 lol

    Répondre
  4. SpiderMaman
    le

    Pas de fessée. Je trouve (avis personnel) que c’est de la vexation pour l’enfant.
    Pour la gifle,  » c’est bien connu, on apprend beaucoup mieux la vie à coup de tartes dans la gueule  » (sarcasme)

    Répondre
  5. Isabelle C
    le

    Je suis Ok avec Clairou, mais ça déplace le débat, combien d’enfants sont battus alors que tout le monde ferme les yeux.
    Ensuite la fessée interdite par la loi, et après; il se passe quoi.
    Qui va se dénoncer, une simple amende, un passage devant le juge des affaires familiales ?

    Répondre
    • Olivier
      le

      C’est vrai que la loi ne résoudra pas tout. Peut-être même qu’une interdiction compliquera la chose. Mais elle aura aussi le mérite de pointer du doigt ceux qui pensent encore qu’une petite fessée corrective, c’est pas de la violence, et qui se lâchent un peu trop du coup…

      Répondre
  6. emilie
    le

    Super Papa et moi avons évidemment un socle commun de principes éducatifs et le « on ne tape pas » en a toujours été un.
    On lui a toujours beaucoup parlé, expliqué, négocié. Effectivement c’est plus long et plus fatigant que de coller une claque et mettre au coin mais au final, plus payant à mon avis. Notre fils de 3 ans et demi vient tout juste de découvrir ce que veut dire « fessée » au contact de ses copains d’école qui pour certains connaisssent apparement bien… par contre c’est un petit garçon qui n’a jamais mordu ou tapé ses copains de crèche ou d’école et qui nous écoute.
    D’une manière générale, quand on se met en colère c’est plus souvent un aveu de faiblesse de notre part (fatigue, énervement extérieur…) mais jamais notre enfant à lui seul (bien qu’il puisse être TRES pénible parfois, nous avons un vrai enfant quand meme !).
    Aucun regret à procéder comme ça et dans 15 ans, j’espère avoir fait de lui un mec bien et alors je pourrai fièrement dire « nous l’avons élevé sans jamais le taper » et je serai fière de nous… 😉
    Un peu longue, désolée mais c’est un sujet qui me tient à coeur et je suis toujours choquée d’entendre des parents menacer leur enfant d’une fessée ou d’une claque. Sans doute mon côté « peace&love »…

    Répondre
    • Olivier
      le

      Tu as raison de dire que la colère vient avant tout avec l’énervement et la fatigue… du coup, si l’envie de lui en coller une peut monter, elle n’est jamais raisonnable (au contraire).

      Répondre
  7. Mapsyditquejesuisformidable
    le

    Comment est-ce que je peux t’envoyer une photo ?
    Elle circule sur Facebook et m’a vraiment horrifiée lorsque je l’ai vu. En gros, elle dit « s’il y avait plus de fessées, il y aurait moins de délinquants » en reprenant de malheureux clichés.
    Mais elle illustre parfaitement les stats dont tu fais état. Plus de 67000 personnes ont ‘liké’ ce montage…heureusement que quelques personnes s’insurgent du raccourci fait dans les commentaires.
    Le plus drôle c’est que cette photo a été relayée par la page FB « message d’amour » (24fev2013), CQFD n’est-ce pas…

    Répondre
  8. Lollie
    le

    Pas de fessées ici non plus, lorsque Mini refuse d’écouter ou se braque contre nous, on l’envoie dans sa chambre se calmer et réfléchir. Elle y pleure, y crie, et elle revient quelques minutes après, calmée, et là, on lui explique que ce qu’elle a fait ou dit n’est pas bien.
    Ce n’est pas tous les jours évident, mais ça vaut le coup d’insister.
    L’autre jour elle a vu un petit garçon prendre une sacrée rouste depuis notre fenêtre, par une maman énervée dans la rue, et bien elle était choquée, elle m’en a parlé des heures (oh maman le pauvre, sa maman lé méchante ! Le soucis pour moi aujourd’hui est de lui expliquer pourquoi certains papas et mamans agissent comme ça, alors qu’elle n’y a jamais été confrontée. Je ne sais pas comment lui expliquer. Je tente le truc bateau du  » certains parents pensent que c’est comme ça que les enfants peuvent comprendre que ce qu’ils font est mal (bêtise, caprice), mais je lis dans ses yeux qu’elle ne comprends pas vraiment. Elle est peut-être encore petite, je ne sais pas.
    Merci pour cet article 🙂

    Répondre
    • Olivier
      le

      exact. On en parlait justement hier avec super maman. Elle et mychoup’ ont assisté à une scène similaire : une petite fille qui se prenait deux claques devant elles. Mychoup’ en est restée figée. Et super maman était à deux doigts d’intervenir…

      Répondre
  9. Pomdepin
    le

    Il y a une loi depuis plusieurs années en Grande Bretagne, on a un peu de recul: ça ne sert à rien. Il y a eu beaucoup d’articles qui sont sortis dans la presse récemment, et tous disent la même chose: la loi culpabilise les parents qui ne donnent pas la fessée, à qui ça ne viendrait pas à l’idée, mais qui ont pu donner une tape sur la main exceptionnellement et en situation de danger (pour éviter les doigts de bébé dans une prise électrique par exemple). Et les parents naturellement violents se fichent pas mal de la loi et continuent comme si de rien n’était!
    L’important, c’est l’éducation et la communication.

    Répondre
  10. Agnès
    le

    Il m’est déjà arrivé de donner une fessée à Simon. Et je me suis excusée. Parce que c’était un geste d’exaspération, un aveu d’échec, quelque chose que je ne souhaite pas faire mais sans que je me sois vraiment préparée à changer par rapport à l’éducation que j’ai reçue (peu de fessée et jamais de gifle, mais des punitions, et on nous laissait pleurer… comme beaucoup de gens de mon âge, quoi). Et ça n’apprend rien à l’enfant sinon à ne plus se faire prendre. Comme la plupart des punitions.
    Le problème c’est que si on parle de légiférer, on pense tout de suite à sanctionner les parents, qui n’y gagneront rien ni en payant une amende ni en allant en prison, car ce qu’il faudrait faire aux parents reconnus coupable, c’est les envoyer en formation « éducation non violente ». C’est d’ailleurs ce qui s’est fait en Suède quand ils ont commencé à pénaliser les châtiments corporels. Beaucoup de gens pensent que l’éducation non violente consiste à laisser faire tout et n’importe quoi à l’enfant, qu’il n’y a pas de règles à respecter sous prétexte qu’on ne crie pas, qu’on n’oblige pas à finir son assiette, etc. D’où cette photo que j’ai moi aussi vue sur facebook. D’où aussi ces propos puants que j’ai entendus dans une chronique qui se prétendait humoristique « s’il suffisait d’expliquer à l’enfant que ce n’est pas bien, les prisons seraient vides », alors que dans la population carcérale, on doit probablement trouver un mélange de gens qui n’ont pas eu d’éducation (pas de fessées certes, mais pas de règles, pas de repères, peu de présence des parents) et de gens qui se sont pris des torgnoles plus souvent qu’à leur tour.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Exactement. On pourrait sanctionner par un stage court mais intensif. Je suis certain que beaucoup de parents y trouverait de nombreuses réponses. Car la violence n’est jamais une fin en soi, mais plutôt l’expression de quelque chose qui ne tourne pas rond.

      Répondre
    • Rachel - Rayures et pois
      le

      Je trouve que c’est une excellent idée Agnès. c’est très dur de se « libérer » de l’éducation que l’on a reçu et on se trouve souvent démunie face aux crises de nos enfants.

      Répondre
  11. Amélie Epicétout
    le

    Je préciserai juste « entre adultes consentants ». Sinon je lutte tous les jours contre les 65% de personnes qui pensent qu’une fessée ça ne fait pas de mal. Et dans un couple c’est difficile de se faire entendre surtout avec une petite fille très très têtue, très très dynamique et pas très très sage. Je suis encore plus têtue que ma fille. La fessée n’est pas une solution, ni un moyen, c’est une aberration!

    Répondre
    • Olivier
      le

      Pareil ici. Mychoup’ n’a rien d’un ange et elle sait parfaitement jouer avec mes nerfs pour que je frôle le craquage… mais non, je ne lâcherai pas. Zen mais ferme !

      Répondre
  12. Coco
    le

    Sinon il y a un autre père de famille, pasteur qui plus est, qui conseille d’autres moyens de « corriger » son enfant sans laisser de traces:
    http://www.amazon.fr/To-Train-Child-Michael-Pearl/dp/1892112000/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1389715665&sr=8-1&keywords=to+train+up+a+child
    Bon parfois, ça marche pas toujours, et heureusement!:
    http://www.examiner.com/article/another-couple-found-guilty-of-murder-for-parenting-by-to-train-up-a-child

    Je me demande encore comment AMAZON continue à vendre ce torchon, et comment on peut encore laisser ce type en liberté. C’est à vomir…

    Répondre
      • Coco
        le

        Un mode d’emploi pour ainsi dire…

        Ils sont fous ces ‘Ricains. C’est vraiment à vomir…

        Et je ne sais pas comment on peut faire pour faire interdire ce genre de bouquins. Maintenant il faut voir le problème de la censure et de la liberté d’expression. Il est interdit d’interdire, et puis on dévie vite vers des histoires de quenelles…

        Mais je trouve que ça n’a vraiment pas ça place là étant donné que c’est en libre accès pour tous.

        Combien d’infanticides faudra-t-il pour arrêter ces malades et la vente de ce bouquin?

        Répondre
        • Olivier
          le

          Par chance, je ne lis pas suffisamment bien l’anglais pour me taper ce bouquin (comme une majorité de français). Ouf 🙂
          Plus sérieusement, c’est vrai que la censure pose aussi plein d’autres questions. Si Amazon avait une conscience, elle ne vendrait pas ce genre de bouquins… oui mais voilà…

          Répondre
    • clairou
      le

      rien qu’ en lisant les commentaires de ce « livre » je ne comprend pas qu’il soit encore en vente…
      c’est vraiment honteux, le pb de la liberté d’expression ne se pose pas quand il d agit d’actes malveillants…

      Répondre
  13. kanard
    le

    j’ai ete élevé a la torgnole , et j’en suis pas mort et j’ai 30ans , et ma fille qui a 4 mois, si + tard elle en mérite, elle en aura , il y a que ca qui marche parfois !! car maintenant , les priver de tv, internet, ou tel, ne marche plu !! une bonne baffe, pour montrer qui est la chef a la maison, et voila :!!!

    Répondre
    • Olivier
      le

      Les formes d’éducation évoluent. Ce n’est pas parce que la « torgnole » est une méthode qui a été utilisée dans le passé qu’elle est juste et efficace.
      Et honnêtement, je crois que la violence rend les gens (les enfants comme les adultes) méfiants et fourbes… pas dociles.

      Répondre
      • Agnès
        le

        Bien d’accord avec Rachel et Olivier. La violence éducative apprend aux enfants à ne pas se faire prendre, et que les plus forts ont le droit de frapper les plus faibles. L’argument « et je n’en suis pas mort » n’est pas valable : quand il était petit, mon père échappant à la vigilance de ses parents, a mis ses doigts dans une prise électrique, il n’en est pas mort, pour autant il a fait en sorte que cela ne nous arrive pas.
        En revanche, le choix d’écarter la violence éducative se prépare : vous ne pouvez pas simplement décider que vous n’allez pas vous en servir si vous ne connaissez pas d’autre alternative, car là en effet, vous risquez fort de ne pas savoir poser les règles ni canaliser les recherches de limites de votre enfant. C’est pour ça qu’une amende ou une peine de prison ne sont pas des réponses adaptées si la loi interdit la fessée.

        Répondre
    • Rachel - Rayures et pois
      le

      Je suis d’accord avec Olivier. A voir si tu as envie d’établir une relation dominé-dominant avec ta fille plutôt qu’une relation de confiance sécurisante…Une question, le jour ou ta fille va frapper un autre enfant parce qu’il aura refuser de lui obéir, que vas-tu lui dire ?

      Répondre
  14. maman-pieuvre
    le

    Chouette article, même si j’ai mis un moment à comprendre ton point de vue (bien vu 😉 )
    Je suis venue en France il y a 25 ans, du Danemark. Déjà à cette époque, les violences physiques ou châtiments étaient interdit par la loi. Je ne vous dis pas notre surprise en découvrant les méthodes en vigueur ici. En famille comme à l’école !
    Si des adultes en arrivent au châtiment corporel, c’est clairement qu’ils ont raté quelque chose dans leur façon de s’y prendre pour éduquer les enfants. Il est grand temps de passer une loi, ne serait-ce que pour faire prendre conscience à certains qu’il y a d’autres façons de faire.
    J’ai trois enfants, n’ai jamais levé la main sur eux et suis fière de pouvoir les emmener partout tant ils sont « sages ». Question d’amour, de patience et de réflexion. Quand il m’est arrivé de sentir que je n’allais plus gérer, ce qui marche le mieux c’est la distraction pour autre chose (tiens regarde, tu as vu…), le changement d’air (promener le chien, aller voir une voisine..) et l’acceptation du refus (« d’accord, tu n’as pas envie de mettre ces chaussures » tout en leur enfilant).. bref, il y a plein d’autres pistes que la violences qui ne génère que violence. Bon courage aux enfants français et trop fiers de l’être 😮

    Répondre
  15. Rachel - Rayures et pois
    le

    Nous sommes absolument contre la fessée et contre toutes formes de « violence (soi-disant) éducative ». Les fessées, les tapes sur les mains ou ailleurs, n’ont qu’une visée : défouler les parents. Et puis comment expliquer à ses enfants qu’on ne doit pas taper les autres ou se battre si on leur met des fessées pour se faire obéir? Il est grand temps qu’on prenne conscience qu’un enfant ça s’éduque ça ne se dresse pas ! Je suis donc pour que cette loi passe. Les enfants d’aujourd’hui feront le monde de demain, commençons par les éduquer sans violence pour qu’ils aient moins de pulsions destructrice envers les autres et envers eux-même. Car une fessée tue l’estime de soi, si elle ne fait pas forcément mal physiquement sur le plan psychologique c’est quand même un geste humiliant qui place l’enfant dans une position de soumission et de peur vis à vis des adultes.

    Nos enfants ont le droit au respect et à la bienveillance, donc NON NON NON à la violence éducative !!

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    • Olivier
      le

      Effectivement, au delà de la douleur physique, c’est l’humiliation et la peur qui sont aussi en question. Et je ne crois pas qu’ils s’agissent de bons leviers éducatifs.

      Répondre
  16. La fée Lili
    le

    Ici, pas de fessée non plus et on essaie de trouver des alternatives positives à la punition. J’avoue que parfois, c’est difficile, et plus d’une fois, je me suis sentie au bord du gouffre, mais ouf, pour l’instant pas de craquage. Pourtant, ici aussi une deuzan et demi qui traverse une vraie tempête en ce moment. La clé a été, pour moi, d’identifier les mécanismes de ma colère, en gros je me sens « craquer » et du coup alerte rouge, on passe le relais, je m’isole un instant, je souffle un gros coup.

    En ce qui concerne la loi, pendant longtemps, je n’en voyais pas l’utilité. Maintenant, j’ai changé d’avis, je pense que l’intérêt est plus de faire évoluer notre regard sur la fessée (arrêter de la considérer comme un mode d’éducation valable), que de réellement punir les parents.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Tu as raison, c’est parfois difficile. Du coup, faut savoir passer la main, ou apprendre à gérer ses émotions quand ce n’est pas possible.

      Répondre
  17. MamanBlogueuse
    le

    Pas plus tard que samedi, pour resituer la scène. ChoupChoup 2 ans 1/2, Tichou 4 ans. Sortie de chez Picard, chargée de 2 énormes sacs de produits surgelés, mon sac à main, les 2 gnomes à mes côtés. Je leur dit : je vais poser le chariot (à l’intérieur du magasin, juste à côté (genre 1 mètre) de la porte de la sortie).
    Je pose le chariot, récupère mes sacs. Je n’ai même pas eu le temps de me retourner, en 5 secondes ils avaient filé, courant vers le parking.
    Je n’ai pu les rattraper qu’à la voiture.
    J’avoue, ils ont eu une fessée, une chacun. Et j’ai gueulé, fort, très fort.
    Aveu de faiblesse : oui. J’ai eu peur. Peur pour eux, peur qu’une bagnole arrive et ne puisse freiner à temps.
    Peur parce que je n’ai pas anticipé.
    Ils sont petits, j’étais seule pour gérer ces courses là, je n’ai pas assuré.
    Une fois installés dans leurs sièges, j’ai expliqué et ré-expliqué pourquoi ils devaient rester près de moi quand on sort et qu’il y a des voitures.

    Sinon, oui je suis contre la fessée également. Nos nerfs sont mis à rude épreuve, c’est un fait, ce sont des enfants. C’est normal.
    En cas de crise, après avoir essayé d’expliquer, de calmer, d’essayer de les « distraire » avec autre chose. Ou quand ChoupChoup tape (elle a la claque facile la pitchoune, allez savoir pourquoi). A ce moment là, c’est direct illico dans la chambre pour se calmer.
    Une minute par âge de l’enfant. J’ai lu ça dans un bouquin. Et ensuite on en reparle, on fait un gros câlin.

    Je discutais de cela avec des collègues pas plus tard que la semaine dernière. Pour eux, cet isolement est une souffrance psychologique qui peut être pire que la souffrance physique d’une tape sur les fesses ou sur la main. Je n’étais pas d’accord avec eux (enfin, pas à 100%). L’idée de l’isolement est surtout pour moi l’envie de leur faire comprendre que lorsqu’ils font quelque chose de pas bien il y a des conséquences.

    C’est pas facile tout ça, il faut trouver le juste milieu entre leur bien être, notre capacité de gestion des problèmes, leur sécurité, la nécessité de leur inculquer des bases et nos valeurs éducatives….

    Répondre
    • Olivier
      le

      Effectivement, dans un grand coup de stress, ça peut partir vite. Même si ce n’est pas une méthode qu’on approuve au quotidien. l’important, c’est d’en avoir conscience et de s’interroger sans cesse, non ?

      Répondre
  18. Emilie
    le

    Il est déjà arrivé qu’il me mette à bout de nerf et que je lui crie dessus (plus que parler fermement)… et déjà j’ai culpabilisé de ne pas avoir su contrôlé mes nefs!! Alors lui donner une fessée, je m’en voudrais énormément!! Personne n’a le droit de me taper, et il en est de même pour mon fils!

    Pourtant, dans mon ancien boulot, avant d’avoir un enfant, plusieurs collègues étaient d’accord pour dire « qu’une petite fessée était nécessaire parfois. »… et même si je n’étais pas pour appliquer cette méthode, leurs propos ne me choquaient pas plus que ça. Ça a fortement changé depuis que je suis maman! Je ne comprend pas qu’on puisse lever la main sur son enfant et trouver ça normal…une fessée exceptionnellement qui part parce qu’on est à bout, qu’on s’en veuille et qu’on aille expliquer son geste à son enfant, OK… mais pas comme méthode éducative!!

    Quand à « j’ai ete élevé a la torgnole , et j’en suis pas mort »… Perso, j’ai reçu quelques fessées enfant et oui, je n’en suis pas morte et j’adore mes parents. Je n’ai pas été élevée aux torgnoles hein, mais parfois la fessée tombait quand on allait trop loin… C’est sûr que ça nous coupait l’envie direct de recommencer, mais perso, le souvenir que j’en ai c’est une forte injustice et une incompréhension de ce geste… donc non, pas de fessée chez moi.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Je crois que la plupart d’entre nous a eu droit à une fessée dans son enfance. Et effectivement, l’injustice et l’incompréhension sont des sentiments que je partage.

      Répondre
      • emilie
        le

        Comme Emilie (peut etre car je suis une Emilie aussi)… les fois ou « je craque » et parle plus fort que necessaire je m’en veux et je lui explique toujours « maman est fatiguée donc elle s’est fachée fort ». Lui avouer que moi aussi je peux etre en colere mais qu’il faut savoir retrouver son calme lui a permis de mieux gérer ses propres coleres et parfois il me demande « maman, montre moi comment souffler pour retrouver mon calme ».

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          • emilie
            le

            Ouai, il m’a fallu quelques secondes pour comprendre ce qu’il voulait mais au final, c’est juste ça « le secret »: c’est qu’ils arrivent à identifier pour maitriser leurs émotions. C’est quelque chose qu’ils travaillent en petite section de maternelle… avec le chat « moustache » qui est heureux, triste, a peur ou est en colere…

  19. netaddicta
    le

    Jamais de fessée jusqu’à il y a quinze jours environ où Pucinette m’a envoyé un livre à la tête et m’a fait très mal. Le pire c’est que c’est papa qui l’a donnée, choqué par ce qu’elle venait de faire. En fait, une fois tout le monde calmé, on a compris que le livre n’avait pas été jeté intentionnellement dans ma direction et on s’est expliqué avec elle, tout en lui répétant que de toute façon elle n’a pas à jeter ses jouets. Sinon de base nous sommes plutôt contre et j’espère que celle-là restera la seule. Par contre, il nous arrive plus fréquemment de donner une petite tape sur la main.
    Mais le débat est vraiment ouvert, j’ai effectivement vu les yeux étonnés de deux de mes collèges ayant des enfants de l’âge de Pucinette, me dire « quoi, tu ne lui a jamais donné de fessée? » il y a un mois lorsque nous en avions parlé.

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    • Olivier
      le

      L’important c’est que le débat soit ouvert, que chacun garde en tête que la fessée n’est pas un acte anodin, que la réflexion fasse son chemin…

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  20. gaelle
    le

    Parfois quand je n’en peux plus, je donne une fessée … sur sa couche(je culpabilise moins mais je n’en suis pas du tout fière) ou alors, je porte ma fille ( de bientôt 2 ans) illico presto dans sa chambre et dans son lit, lui demandant de se calmer et de jouer ( voir se défouler sur ses peluches)le temps que je baisse en pression (bien souvent çà ne dure pas plus de 5mn). Je me dis que la 2ème option est beaucoup plus saine que la première. Moi qui ait connu le martinet ( je suis née en 78) et la fessée sur les cuisses, non merci ( même si parfois en remémorant des souvenirs, j’en souris).

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    • Olivier
      le

      Holala, le martinet, ça me faisait flipper petit. Il n’y en avait pas chez moi mais chez un copain… je me suis demandé ce que c’était que ce truc de torture quand il me l’a montré.

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  21. Jean-Claude
    le

    J’ai grandi a coup de martinet & de fessée( a l’époque on en trouvais a chaque coin rue…) j’en suis pas mort, mais je ne pense pas que ce soit la bonne méthode.
    Mon fils ( 7 ans 1/2 ) n’a jamais connu la moindre correction physique… et pour l’instant tous ce passe bien comme quoi avec du dialogue, beaucoup de patience et une bonne intonation de voix ça peut le faire.

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      • Jean-Claude
        le

        Pour ma part effectivement la bonne intonation compte, mais elle doit fonctionné dans tous les cas, que ce soit celui de la réprimande ou bien ceux des moments câlins de discussions d’échanges…Mais dans tous les cas la ZEN Attitude prime ( merci Magnésium B6 )

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  22. Doudou
    le

    Bonjour et désolé si je vais choquer du monde ici, mais…
    Franchement, si vous preniez le temps de vous rappeler un jour où vous étiez tellement insupportable seul, ou avec vos frères ou soeur, qu’un jour votre mère ou votre père en a eu raz-le-bol après des 10aine de parole ou geste amenant à essayer de vous comprendre de manière douce et inoffensive qu’il y en avait assez de tout le souk audible ou physique que vous mettiez, bah une bonne vieille fessée bien correctrice dont on se souvient longtemps, et vous redevenez calme un bon bout de temps, voir même si tu t’en souviens bien, la ou les fois d’après où tu avais plus ou moins l’impression de recommencer, juste le fait de prévenir que Papa allait revenir pour stopper le bordel, tu t’arrêtais de suite… alors y en a eu une ou deux dans toute mon enfance qui m’ont marquées à ce point, mais je peux dire que j’avais compris qu’il fallait être gentil, et mes frères aussi, entre nous, je vous le garantis ! On en parlait en riant encore l’autre fois, on s’en souvient encore !
    Je pense qu’une menace se suffit à elle-même quand l’enfant sait ce qu’il adviendra s’il dépasse les bornes.

    Après, je dis pas que je passerais le cap, mais si ma fille devient absolument insupportable, crise ou je ne sais pas quoi et que je sens que c’est le seul et unique moyen de me faire entendre…

    Bref, suis-je un monstre ? Je ne suis pas traumatisé (en tout cas j’en n’ai pas l’impression), j’ai une vie stable, une femme, un enfant, un cdi, je suis cadre, j’ai des passions, je ne me suis jamais battu, et je suis plutôt tout doux comme mec… je pense juste que c’est l’arme ultime pour que son enfant comprenne qui est le chef de famille et que c’est moi(ou ma femme) qui dicte les règles de vies dans le foyer, et pas le petit bonhomme ou jeune fille si jamais il/elle a un caractère teigneux…
    Par contre, si ça suffit pas, par contre, là, je pense qu’il y a plus que les mises en pensions (qui doivent encore exister) pour que quelqu’un d’autre lui apprenne à vivre en société, car on sera vraiment nul au bout du compte dans le rôle de parents lol
    Mais honnetement, on a la plus mignonne des petites filles, je sens qu’elle va comprendre et qu’elle comprend déjà qui décide à la maison hihihihi (sans aucune violence bien entendu)

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    • Olivier
      le

      Merci de ton témoignage, franc et direct. Personne ne te jugera ici, même si certains ne seront probablement pas d’accord avec toi.
      Bien sûr, on pourrait argumenter longtemps sur les situations souvent individuelles et contextuelles dans lesquelles les fessées se justifiaient plus ou moins dans le passé. Et encore maintenant. Pourquoi pas !
      Mais je continue à penser que l’usage de cette sanction physique était à l’époque aussi utilisée par défaut, par méconnaissance d’autres méthodes éducatives.
      Pourquoi ? Parce que je reste convaincu que ça ne fait plaisir à aucun parent digne de ce nom de frapper ses enfants…
      PS : et tu n’es pas un monstre hein ! 😉

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      • Clairou
        le

        Peut être qu aussi avant on se prenait moins la tête sur les ressentis des enfants…
        Ça c est mon avis hein…
        Après y a une réflexion qui me reste quand je vois un môme juste exaspérant, ou un parent qui ne fait rien quand son môme se prend pour un caid au parc c est :  » y a des fessée qui se perdent… »
        Oui c est moche je sais!!!

        La seule fois qui m’a vraiment montré que j étais aller trop loin c est quand ma mère a sortit la ceinture et là je peux te dire que sans me frapper, et même si j avais 14 ans j ai compris tout de suite!! Cette scène reste gravée…

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          • Doudou
            le

            Moi, c’était la raquette de ping pong…
            (une fois et une unique fois, puis le seul fait de menacer suffisait…)

            Après oui, je pense également que l’éducation s’est beaucoup intellectualisée ces dernières années… mais je souhaite rassurer également, je ne me vois pas fesser ma petite Léna aujourd’hui (déjà, elle a 6 mois hein) ni à l’avenir, elle est si mimi que je ne peux prévoir en aucun cas de telles mesures correctives en cas de problème à l’heure d’aujourd’hui, je me dis que la fermetée et les paroles devraient suffire si on ne s’emmêlent pas les crayons avec ma compagne (genre elle ou moi disont l’inverse à notre fille coup sur coup)… l’idée, c’est surtout de savoir se montrer autoritaire et juste auprès de son enfant, je me demande encore comment mes parents ont pu un jour avoir le courage de passer à l’acte et de continuer à dormir sereinement après! (je ne me souviens pas avoir eu des excuses et un réconfort une fois les fesses rouges :O )
            Seul l’avenir nous le dira !
            En tout cas, avec les enfants des autres, l’expression « y a des fessées qui se perdent » est bien souvent au bout de ma langue… ce n’est pas pour ça que j’irais les convaincre de leur en donner !

  23. Alexandre
    le

    Autour de la période des 2 ans, comment ne pas craquer en lui administrant une fessée quand il n’écoute pas ou quand il n’est pas sage.
    A cet age, il s’affirme, on est parfois démuni et on se « décharge ».

    J’étais un peu réfractaire à l’éducation sans fessée, et je dois dire que cela porte ses fruits.
    J’ai été élevé à la dure, et je sais que mes parents ont tout fait pour moi. Mais les habitudes changent.

    Ca va vous paraître absurde peut être, mais après avoir vu une émission sur M6, Super N….., j’ai juste appliquer quelques conseils qui étaient valables sur des enfants de 2-3 ans. A savoir, toujours appliquer la punition à son enfant, même s’il pleure, même s’il crise. Toujours lui expliquer pourquoi on le puni, et à la fin de la punition, lui demander s’il sait pourquoi il a été puni, et lui demander un petit bisou ou un petit pardon.

    Il faut aussi lui dire, qu’on comprend que ça le contrarie, et que on est à son écoute et qu’on l’aime fort. Il faut lui expliquer qu’il y a des règles à respecter..

    Depuis, mon fils est un vrai amour, calin et tout, un vrai changement.

    Par contre, au début, c’est très difficile de ne pas craquer et on prend sur soi.

    Et ca marche !

    Merci pour ce blog que je viens de découvrir 🙂

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  24. nounou 42
    le

    Bonjour,quand j’ai vu la photo ,escusez-moi,mais un « ho la vache »,m’a échapé,du coup je crois que je n’adhère pas à la fessée,surtout avec un battoir! Mais je peux comprendre que si l’on a été éduquer avec, dur de ne pas le reproduire,mais sur en tant que nounou je pense que nous disposons suffisemment de moyens,pour ne pas la donner donc je suis contre,et fière de ne pas en donner,pour moi c’est un plus dans ma démarche d’etre et de vouloir etre Zen et de réussir à régler les conflits au quotidien avec les enfants de façon professionnelle,merci de m’avoir lue

    Répondre
    • Olivier
      le

      Effectivement,il y a souvent uen autre façon que la fessée de régler les conflits. Et les assmats, formées pour ça, le savent bien !

      Répondre
  25. nounou 42
    le

    Désolée,c’est pas un battoir,mais une chaussure,mais c’est pas mieux en plus ça à l’air de chausser grand,j’en ai mal aux fesses pour le petit

    Répondre
  26. lylou
    le

    personellement je nai pas encore été confronté à une crise de ma puce mais de maniere generale je suis contre la violence comme reponse ! je pense que punir et expliquer ensuite sera plus judicieux… surtout bien lui expliquer pourquoi elle a ete puni et quelle ne doit pas faire ou dire telle ou telle chose.
    mon education a ete tout autre cri gifle coup de savatte ceinture 🙁 je ne vais pas m’etaler mais cest reel ma mere a ete battue etant petite et ne connaissait donc que ce mode d’education
    du haut de mes 27 ans je nen garde pas de sequelle et je mentend bien avec mes parents mais je leur en veux au plus profond !
    tout ça pour dire que je ferai tout pour ne pas reproduire cette violence

    Répondre
    • Olivier
      le

      Au sein d’une famille, la violence laisse souvent des traces indélébiles. C’est ta force de caractère qui devrait ensuite faire en sorte que tu ne reproduises pas. Et tu pourras être fière d’avoir mis fin à ce cercle vicieux de la transmission de la violence comme mode d’éducation, de génération en génération.

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  27. Cherry B
    le

    Je n’ai pas encore d’enfant mais j’ai lu tous les commentaires et témoignages.

    Je n’ai pas le souvenir d’avoir eu de fessées, ni de claque (peut-être une étant ado…) mais j’ai eu la chance d’avoir des parents compréhensifs et ouverts, ayant pourtant chacun eu une éducation plutôt stricte et rustique. Le principal pour moi est le dialogue, « la fessée j’en ai eu et je suis pas mort » très peu pour moi, ancienneté et habitude ne rime pas toujours avec choix judicieux, on évolue, l’éducation des enfants aussi je pense. Pour vous dire, étant ado je pouvais être exécrable. Le seul accès de violence de ma mère dont je me rappelle (je l’avais poussé à bout) est qu’elle a balancé mon ordinateur portable par terre. Cassé. Elle a déversé sa colère sur l’objet du conflit. Je peux vous dire qu’après ça je l’ai moins ramené et j’ai préféré les ordinateurs fixes… Enfin bref, les parents sont aussi des être humains, pas toujours facile de gérer les enfants et leurs « piques » ou accès de colère mais la violence physique ne résout rien, ou plutôt résout mal les choses. Bravo à vous tous qui prônez l’éducation non violente, j’espère être aussi exceptionnelle avec mon futur enfant.

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    • Olivier
      le

      Tu résumes bien ce que nombre d’entre nous pensons, même si personne n’est exceptionnel et donc à l’abri d’une erreur. Ta mère a par exemple trouvé de quoi extérioriser sa colère, et même si ça lui a coûté 500 euros, c’est mieux qu’une claque 🙂 Mais dis donc, tu as du la pousser à bout !

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  28. Gerard parise
    le

    Je viens de decouvrir ce site. Je vous fait part de mon « experience ». Je suis veuf,pere de jumeaux de 14 ans. Peu avant Noel, ils ont vole dans un magasin. J ai ete averti par le responsable,un monsieur tres comprehensif qui n a pas voulu porter plainte. J etais dans un sale etat. Je me posais la question »pourquoi, pourquoi ». De retour a la maison,j ai discute avec mes fils. Ils etaient incapables de dire ce « pourquoi ». Finalement,ils ont reconnu qu ils s etaient comporte comme des gamins. Je voulais les priver des cadeaux de Noel. J ai alors ajoute « vous meriteriez une fessee ». En rougissant,et apres s etre regardes ils m ont dit qu ils preferaient la fessee. Cela m a plus qu etonne mais je me suis execute. Ils ont donc recu la fessee a travers le slip. Le lendemain en rentrant du college,ils m ont embrasse, offert un paquet de cigarettes,en me disant que j avais bien fait et qu ils ne recommenceraient plus. Voila mon temoignage

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    • Olivier
      le

      Chaque expérience individuelle ne doit pas faire oublier la règle : pas de violence. Néanmoins, ils ont 14 ans, pas 2 ou 3 ans. L’histoire n’est pas la même et la punition semble être née de la concertation comme vous le précisez.
      Reste une dernière chose : je ne sais pas comment je réagirai si ma fille m’offrait un paquet de clopes… bref.

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  29. ROVILLAIN
    le

    En ce qui me concerne. Je ne suis pas contre la fessée.Je pense que le rôle essentiel des parents est de tout faire pour que l’enfant soit rendu fort contre toutes les tentations qui freinent sa progression vers son total épanouissement. Je pense qu’il faut avoir un regard objectif sur l’être humain. Il est habité par deux puissances spirituelles qui s’affrontent. L’une le conduit à son plein épanouissement et l’autre à sa destruction. Il est indispensable que l’adulte fasse le maximum pour participer à la libération de l’enfant de l’emprise de cette force spirituelle totalement négative. Ne pas déployer tous les efforts possible en ce sens là c’est exposer l’enfant à un très gros risque.
    Ceci dit, je suis totalement opposé à une systématisétion de l’emploi de cette méthode. Il faut avoir soin de vérifier, en passant par l’explication et le dialogue patient, si c’est un besoin de l’enfant. Je trouve inadmissible d’imposer une souffrance physique à un enfant s’il n’en a pas besoin. Cela ne doit absolument pas être automatique.
    L’être humain est un être spirituel qui peut être menacé dans sa progression vers la joie totale. Les parents doivent donner de l’affection et même de la tendresse mais ils doivent aussi être extrêmement fermes pour rendre l’enfant contre tout ce qui peut constituer un obstacle. Je pense que s’ils aident l’enfant à prendre vraiment conscience de la nécessité qu’il y a pour lui de changer de comportement il comprendra plus facilement qu’ils usent de tpous les moyens pour y parvenir. Les parents qui ne ressentent pas fortement l’urgence qu’il y a aider l’enfant à prendre l’attitude et les décisions qui s’imposent pour résoudre les problèmes qui sont d’ordre spirituel ne peuvent pas remplir au mieux leur mission.
    Je me doute que de nombreuses personnes ne sont pas d’accord avec moi mais, je pense qu’il faut être lucide et aider l’enfant à voir clair sur ce qui se passe dans son for interne.

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    • Olivier
      le

      Tu l’auras compris, je ne suis pas vraiment d’accord avec ton point de vue, mais je te remercie de l’exprimer.
      Concrètement, comment définirais-tu qu’un enfant a potentiellement besoin d’une « souffrance physique » ?

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  30. petit mickael
    le

    Moi c’était le martinet 20 coups bien appuyés cul nu puis 15 min au coin à genoux mains sur la tête… (je suis né en 1978).Pour mes enfants (2 garçons 10 et 12 ans) j’ai egalement acheter un martinet mais ils ne l’on jamais reçu juste la menace les calmes de suite! Et il est pendu bien en vue dans la cuisine a portée de main au cas où. ..

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  31. Parents : quelles punitions pour nos enfants ? - Blog Je suis papa !
    le

    […] Mais le résultat le plus dérangeant reste, encore et toujours, la sanction physique. 4 parents sur 10 admettraient ainsi avoir recours aux fessées et aux gifles, confirmant d’autres études dont nous avons déjà débattu ici même. […]

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  32. Line
    le

    Bonjour, je suis une maman très affectueuse, très proche de mes enfants, très communicative… Je fais vraiment mon maximum pour qu’ils se sentent bien dans leur peau, pour qu’ils soient à l’aise dans les apprentissages scolaires… Je me prive pour eux, que ce soit financier (vêtements, sorties…) ou en terme de disponibilité. Ils sont ma priorité. Etant quelqu’un de sensible et d’équilibrée (j’espère lol), je suis toujours très touchée et horrifiée par certains faits divers monstrueux et complètement impensables, irréels, inimaginables! Pour moi un enfant ne peut grandir sans modèle, sans amour, sans valeurs morales. Etre maman est un véritable cadeau. J’aime mes enfants plus que tout au monde! Et pourtant il m’arrive d’avoir recours à la fessée. Et oui! Je n’ai aucune honte à dire que je suis pour. Il faut juste que la fessée soit contrôlée (il y a la petite fessée et the fessée, il y a des parents qui en effet peuvent choquer, je ne voudrais pas me prendre la même!), que ça ne devienne pas systématique et privilégier le dialogue et les privations (console de jeux, dessins animés, histoire du soir…). Je ne punis pas un enfant dans sa chambre. Pour moi une chambre est une aire de jeux et de repos!!! Je ne laisse pas mon enfant seul dans sa chambre en attendant qu’il revienne vers moi lorsqu’il est nerveux ou fait une crise de colère. Je le calme dans mes bras, en le serrant tendrement contre moi, tout en lui parlant. Je le prends aussi dans mes bras et m’allonge avec lui sur mon lit pour parler et faire un câlin. Et ça marche! Pour la fessée, quand les punitions et les dialogues n’ont pas eu le résultat escompté, je préviens de son arrivée 😉 Je sais ce que je fais et pourquoi. Je n’aime pas mettre une tape sur les fesses et je leur dis: « Je préfère donner des bisous et des caresses mais comme vous… » Je leur précise aussi qu’il n’y a que les papas et les mamans qui ont le droit de donner une petite fessée pour montrer que les limites sont dépassées! Pour moi une fessée doit vexer et non faire mal. Légiférer sur la fessée est ridicule. Cela n’empêchera pas les parents maltraitants et indignes de porter le titre de « papa ou de maman », de faire souffrir leur(s) enfant(s). Par contre, cette loi peut faire culpabiliser ou mettre en porte à faux les parents qui comme moi, utilisent la fessée rarement et à bon escient. Les gens qui ne sont pas nets dans leur tête, ne vont pas tout d’un coup avoir la lumière à tous les étages! Une loi ne sensibilise que les « bons citoyens ». Après, chacun fait comme il le sent, du moment que ce n’est pas contre le bien-être de l’enfant ;)Et puis je pense que certains enfants sont vraiment très durs, il ne faut pas juger leurs « pauvres parents » parce qu’ils auront mis une petite tape de rien du tout après maintes recommandations! C’est facile d’éviter une fessée quand l’enfant est docile avec un caractère doux et que la situation personnelle du parent est « sans nuage »! Personnellement je ne juge pas ces parents qui sont plein de bonne volonté et d’amour pour leur(s) enfant(s) malgré parfois une situation personnelle très compliquée. Ne pas juger est une des valeurs morales que je transmets à mes enfants! Mais c’est vrai que pouvoir éviter la fessée, c’est chouette! Ca fait plaisir! Bonne route avec vos doudous!

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    • Olivier
      le

      Merci de la richesse de votre commentaire. Il témoigne de votre réflexion et je ne me permettrai pas de la juger, comme les lecteurs de ce blog d’ailleurs.
      Comme vous le dites, Une loi ne sensibilise que les « bons citoyens ». C’est bien le risque de légiférer sur cette question.
      Néanmoins, de mon point de vue, les sanctions physiques n’apprennent rien d’autres que l’humiliation et la vexation, qui ne sont pas des leviers éducatifs selon moi.
      J’entends parfaitement que votre démarche n’est pas agressive ni destinée à faire mal, que vous aimez vos enfants et souhaitez le meilleur pour eux… mais, à titre personnel, je ne partage pas votre point de vue.
      Cela dit, les français sont visiblement très divisés sur cette question.

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  33. MARON
    le

    Il faut savoir de quoi on parle.Pour moi pas de fessée avant 6 ans.Par contre au delà je suis pour le martinet employé avec modération. Je l’ai moi même reçu fesses nues jusqu’à 16 ans et ne le regrette pas. Ce n’est pas cruel et supportable pour les filles comme pour les garçons.C’est comme cela que mes parents m’ont appris à OBÉIR,respecter les autres,être poli, ponctuel etc. Autant de VALEURS qu’on rencontre si peu dans notre « société sans fessée »! Quant aux pouvoirs publics ils feraient mieux de s’occuper de ce qui les regarde et laisser les parents éduquer leurs enfants comme ils l’entendent.

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    • Olivier
      le

      Euh, ici je n’ai jamais reçu ni aucune fessée ni de coup de martinet… je suis courtois, sensible, prévenant, respectueux. Mais parents ont réussi à m’apprendre les valeurs nécessaires à une vie en collectivité sans recourir à la violence. Et je ne pense pas être le seul dans ce cas.
      Si violence et peur étaient les solutions pour apprendre le respect, ça se saurait.

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  34. lylou
    le

    Personnellement je suis contre la fessée si c’est courant et habituelle j’ai connu ça et bien plus durant mon enfance et je nen retiens rien de bon de la terreur des pleurs un mal être un manque de confiance en moi 🙁 pour ma fille maintenant que je suis maman j’essaye vraiment de m’y tenir je lui met une tape sur la main et déjà je le regrette la minute d’après ! Jutilise le coin quand elle fait une bêtise quand elle fait quelque chose qu’il ne faut pas… C’est un long chemin et on n’est qu’au début de l’éducation yaura forcément des périodes plus difficiles des moments ou on n’est moins patient mais j’espère ne pas flancher sur la fessée

    Répondre
    • Olivier
      le

      C’est déjà une vraie démarche de reconnaître qu’on peut tous flancher à un moment ou à un autre. Pris par l’énervement, ça peut partir vite. Mais avec le recul, on se rend vite compte que la violence n’apprend rien à personne…

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  35. Enfants : donner le choix pour éviter les crises - Blog Je suis papa !
    le

    […] Et après vient le temps des regrets. D’avoir haussé le ton, d’avoir usé de mots trop forts, d’avoir perdu le contrôle de soi, d’avoir montré de la colère, et même parfois d’avoir levé la main. […]

    Répondre
  36. Danny Tier
    le

    J’ai connu cela au sens literal du terme,car aussi loin que je m’en souvienne,à partir de 3 à 6 ans tant que j’allais en école maternelle,au soir c’était dodo à 19h30 tous les jours,avec des bretelles à clips sur mon pantalon de pyjama très tendues + le harnais en cuir bleu pour m’attacher à mon lit et avant je devais dire bonsoir à toute la famille ma mere ( et non mon pere) me tirait par mon harnais en me faisant avançer à coups de Martinet ,,et donc cela jusqu’à mes 6 ans.Puis à l’école priamire à l’époque jusqu’à mes 14 ans je ne mettais plus mon harnais en cuir mais il aservi à d’autres de mes freres et soeurs,c’était en permanance en culottes très courtes tenues toujours par des bretelles à clips ,la blouse en nylon bleu au dessus,et une casquette ronde pour ma tete pour cacher ma tete rasée en permanance grace à la tondeuse de ma mere,en plus elle me disait tout le temps  » tu es beau comme ça mon cheri,.Quant au martinet il va sans dire qu’il était accroché au mur et changé tous les 6 mois et notre mere s’en servait largement soit sur nos fesses,pour des remontrances,et pour les remarques ou mauvaises notes la c’était nos culottes abaissés avec le slip et sur ses genoux pour y reçevoir le Martinet,en plus que ma blouse en nylon glissait et que la sienne hyper longue et large aussi en nylon glissait aussi ,cela l’énervait d’avantage ce qui fait que les cadences du Martinet s’acceléraient et donnés avec plus de force à tel point que je n’arrivais plus à m’assoir et lorsque je me plaignais de cela à ma mere elle me répondait en me disant « ah mais soit sage ,travaille mieux et la tu pourras t’assoir,mais à cette époque début des années 70 c’était comme ça partout en France

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  37. joseph khalaf
    le

    Bonjour danny d’près ton commentaire il me semble que c’était comme ça en france pendant toutes ces décenies.Car moi en tant que garçon seul avec ma mere j’étais discipliné surtout au Martinet posé sur le buffet dans la salle à manger ,pret à entrer en action soit sur mes fesses ou posterieur,comme la plupart de mes camarades d’école d’aillieurs!En plus ma mere étant de taille petite,1.64m et maigre avec ses grandes lunettes et habillée en permanance dans sa longue blouse en nylon bleue roi et boutonée dos par 14 grands boutons blancs en plastique et qui tombait sur ses pieds ,et moi à 13 ans je mesurais deja 1,76m,néanmoins cela ne l’empechait pas souvent de me fesser avec son Martinet et pour ce faire elle était obligée de monter sur un marche pied pour etre en hauteur et que les lanieres en cuir fassent « effet » sur soit mes fesses ou mon posterieur !voila vilain garnement ce que maman te fait c’est pour ton bien,tu me remerçieras plus tard !En plus elle m’habillait comme un garçonet avec culottes courtes soutenue par des bretelles à pattes de cuir car il y avait des boutons à l’interieur de ma culotte courte prévue pour mes bretelles  » style grand pere que je n’aimais pas du tout tellement elles étaient arrivées à bout de course donc tendues,et la blouse en nylon bleue roi boutonée sur le coté assez longue et un béret ,pour ma coupe de cheveux pas plus qu’un peigne à plat ,c’est à dire 3mm tout en me disant je suis désolée mais le règlement ici 1 peigne à plat !,mais me camarades de classe avaient la meme coups boule à zéro comme moi,c’était la mode dans les années 70!J’ai tenté de rentrer en resistance contre ces maudites bretelles en refusant à ma mere de les mettre car elles me faisaient mal au point que je n’osais pas m’abaisser,et elle m’expilqua que si je devais les mettre encore une année et qu’elles ne se voyaient pas sous ma blouse en nylon jusqu’à mes 14 ans,et finalement à bout de patience malgré sa petite taille elle me poussa à plat sur la table de la salle à manger en baissant culotte et slip et monta donc sur son marche pied en me flanquant ce jour la une belle fouettée à toute volée avec son Martinet,et finalement je n’ai rien gagne du tout car elle finit par me les remettre ces maudites bretelles à boutons tout en les tirant et me faisant courber pour arriver à les accrocher aux boutons!De plus elle regardait mes heures d’entrées d’école et si je n’étais pas à l’heure elle n’hésitait pas à sortir et venir à ma rencontre toujours en blouse ,(forçément longue et boutonée dos avec ses 14 grands boutons que je devais lui boutonner chaque matin ) et son Martinet en main en faisant tournoyer les lanieres en cuir en l’air dans la rue,ça ça me vexait en plus car donc arrivé à 14 ans et plus grand qu’elle et etre repris au Martinet devant tout le monde par une femme bien plus petite que moi,et me flanquant de coups de lanieres sur ma blouse en nylon pour me faire avançer en disant « allez mon garçon tu vas rentrer et tu auras du Martinet ,voila jusqu’à mes 14 ans c’était comme ça!

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  41. carmen gloser
    le

    Suite aux réponses envoyées ci-dessus ,Moi je peux vous raconter la miene ;car habitant dans une grande ville du nord dans les années 70 et avec beaucoup de circulation,! Un jour alors que javais 6 ans et allait encore à l’école maternelle conduite par ma mere,deja j’allais en école privée tenue par des religieuses et qui étaient très stricts ,elles employaient le martinet à lanieres en cuir sur nos posterieurs et à la maison avec maman c’était pareil! Deja comme tenue à partir de la maternelle jusqu’à nos 16 ans pour nous les filles c’était 1 chemisier blanc à grands boutons-une cravatte bleue marine-1 jupe plissée à bretelles croisées dos et droites devant -un beret bleu marine-la blouse en nylon assez longue bleue-marine aussi + quand il faisait froid un gilet bleu-marine également! Bref il me fallait au moins 15mn pour me mettre tout ça et encore avec l’aide de ma mere!et si je n’allais pas assez vite ma mere me donnait elle aussi du martinet sur mes jambes!.Bon ceci dit un jour je ne sais ce qui m’a prise,j’ai vue une autre copine d’école sur le trottoir en face et j’ai lachée la main de ma mere et j’ai traversée la route pour aller la rejoindre ,et j’ai manquée de me faire renverser par une voiture,bref ma mere était dans tous ces états.ceci dit comme elle n’avait pas pris le martinet elle ma relevée ma jupe et ma donnée une bonne fessée sur mon posterieur! sur le trottoir.Puis en passant devant un magasin maman-bébé,elle a vue des harnais avec laisses en cuir blanc dans la vitrine du magasin et elle m’a tirée dans le magasin et lorsqu’une vendeuse est venue elle lui a demandée « un harnais en cuir avec laisse et lui a meme racontée ce qui s’était passé!.De ce fait la vendeuse m’a disputée aussi et a dit à ma mere vous avez raison madame il faut la mettre en harnais !,!.donc elle a regardée tous les modelles de harnais et en a trouvée la plus grande taille qui m’a été comme un gant,et biensur elle me l’a fixée tout de suite sur moi et donnant la laisse à ma mere ,elle dit voila madame comme ça au moins vous serez tranquille!.mais à cause de ma betise maintenant en plus de tout ce que j’avais sur moi,( blouses-jupes à bretelles ,beret etc,maintenant en plus j’étais sanglée avec un harnais en cuir blanc avec laisse!.Et à partir de ce jour et tant que je ne suis pas devenue raisonable je l’ai portée ,pendant encore 2 ans ( en plus de tout ce que j’avais sur moi! été comme hiver !Sans compter ma mere disait aux religieuses de ne pas me laisser sortir de l’école sans avoir mise mon harnais!,sans compter que lorsque ma mere reçevait de mauvais bulletins scolaires ,en rentrant à la maison elle m’attachait tout de suite au radiateur avec mon harnais pour que je ne puisse pas bouger pendant la fessée au martinet puis elle me l’enlevait en l’accrochant au porte manteau dans le couloir ,comme ça tout le monde pouvait voir que je portais encore un harnais en cuir à mon age!.Sinon si on devait aller faire des courses ou visiter quelqun elle me laissait mon harnais et de nouveau j’étais balladée dans les rues comme ça,et meme qu’elle prenait auusi son martinet ,lanieres repliées en main ,au cas ou !,voila ce qui m’est arrivée ,si vous avez connue une situation semblabe j’aimerais avoir votre témoignage aussi !

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  42. zipzap
    le

    Beaucoup propose l’indifférence plutôt que la fessée.
    Est-ce vraiment moins violent pour un enfant ?
    Personnellement j’ai utilisé les deux et je l’assume, mais rarissime-ment, lorsque fasse à une exigence à leur niveau, parfaitement explicable et expliquée mes enfants ont mené l’épreuve de force pour l’épreuve de force, pour s’affirmer à mauvais escient.
    Dans ces cas rarissimes(j’insiste!), j’ai usé d’une violence modéré, physique ou psychologique suivant les circonstances précises.
    Cette violence destinée à mettre une barrière stricte entre l’acceptable et l’inacceptable fait partie de ce qui fait faire à l’enfant le deuil de la toute puissance. Un deuil incontournable pour devenir adulte.

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    • Olivier
      le

      Pour ma part, je pense qu’il existe d’autres façons d’arriver au même résultat. Néanmoins, je vous remercie de la sincérité de votre propos et de partager la réflexion sous-jacente à votre démarche.

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  43. mark saniez
    le

    Cela me rapelle mes vaccances scolaires en 1975 passées chez ma tante ,la soeur de ma mere qui habitait à la campagne dans un endroit isolé et pas loin d’une grande foret dans l’est de la france,ou pour me changer ma mere m’a mis chez elle pendant tous mes vaccances scolaires cette année la!Cela te fera du bien loin de la ville avait elle dit ma mere ,!Et donc je suis parti en prenant mes affaires!Seulement arrivé chez elle elle me regarda et me demanda ,c’est tout ce que tu as pris comme vetements,et je répondis oui tante!pourtant continua elle ,quand tu vas à l’école tu mets bien une blouse en nylon ,avec un beret n’est ce pas! Je répondis oui tante !mais comme nous sommes en vaccances je ne les ai pas pris!Et aussi sec elle me répondit et bien tu aurais du y penser car ici tout le monde se mets en blouse!En effet car au bout de 2 mn ma tante avait deja revetue une longue blouse en nylon jaune avec une charlotte en pvc sur sa tete et ma cousine une aussi en nylon bleue+son beret!Bon me dit elle elle appela donc sa fille ,donc ma cousine et lui dit descends une de tes blouse en nylon d’école et ton deuxieme beret aussi ,bien maman répondit elle!En plus j’ai du enlever mon short et rester en slip avant de revetir la blouse bleue de ma cousine +mettre le beret aussi sur ma tete!Ma tante apparament satisfaite répondit Bon c’est mieux ,maintenant allez jouer dehors mais attention de ne pas vous salir et je ne veux pas entendre brailler non plus compris! je répondis oui tante ,bon allez moi j’ai du travail à faire!Une fois dehors et affublé de la blouse et du beret de ma cousine je lui ai demandé tu es obligée de rester habillée comme ça ,oui me répondit elle en plus je te préviens que ma mere est une adepte du martinet aussi et cela pour un oui ou un non!Alors surtout ne la provoque pas ,Cela étant dit cela m’a refroidi,et je me suis demandé mais qu’est ce que j’ai fait pour venir en vaccances ici!Puis nous avons mangé dans la cuisine et en mangeant j’ai vu le martinet de ma tante accroché juste à coté du frigo Il avait un manche en bois blanc et accrochés au manches 12 longues et épaisses lanieres en cuir marron d’une longueur d 50cm !,et rien qu’en le regardant je me suis dit que je n’aimerai pas y gouter!deja à la maison ma mere me fessait avec le sien qui étair bien plus petit que celui ci et je me suis dit je n’aimeria pas etre fessé avec celui ci!mais dès le lendemain alors qu’on jouait au ballon et toujours affublés moi et ma cousine de nos blouses en nberets,malheureusement j’ai lançé le ballon trop fort et qui a atteri dans une jardiniere avec des fleurs,et auusi sec ma tante est sortie en demandant qui a fait ça et ma cousine morte de peur lui dit c’est cousin ,quoi dit elle amens toi ici tout de suite et je l’ai suivi dans la cuisne ou elle a décrochée la terrifiant martinet ,et j’ai du relever ma blouse et me mettre couché sur la table de cuisine puis ma tante baissant d’ub coup sec mon slip me donna 1 coups de martinet bien appuyés ,ce qui me procura une vive douleur et j’ai meme pleuré ,ce qui laissa ma tante de marbre,puis jai du me mettre 1h dans un coin de cuisne avec les mains sur ma tete et avec toujours mon slip baissé et la blouse relevée c’est à dire cul nu ,Puis au bout d’une heure je me suis relevé mon posterieur engourdi et j’ai eu la droit d’aller jouer dans la cour avec ma cousine de nouveau, Mais au soir juste avant de souper un autre désagément m’attendait ,car je fus appelé encore par ma tante qui avait en main une tondeuse électrique ,et me dit viens on va te raserta tete comme ça tu n’auras pas chaud,et jai du m’exécuter, ell me fit m’assoir sur une chaise deors et enlevant ma blouse en laissant que mon slip elle brancha sa tondeuse et Zzz,elle me fit une belle boule à zero ,puis satisfaite de son travail elle me dit enfin tu ressembles à un garçon!,La c’était le comble ,donc j’étais venu en vaccance pour porter les blouses en nylon de ma cousine,me faire fesser avec ce redutable martinet,et enfin me faire tondre la boule à zero ,et ce régime a duré 2 mois après quoi je n’y suis jamais retourné chez elle et je préferais me faire fesser par ma mere que par elle,de plus à l’époque j’allais sur mes 15 ans!

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    • carmen glosser
      le

      En effet et selon le témoignage de Mr saniez ,ou ce monsieur raconte dans son blog comment sa mere , ou d’autres membres de sa famille le traitait! Moi aussi et mes 3 autres soeurs ,avec notre mere ça marchait de la meme façon! Tout d’abord ,pour un oui ou un non, notre mere nous fessait avec le Martinet,et dés qu’il manquait 2 ou 3 lanieres en cuir sur le manche du martinet ,il était renouvelé ,car notremere voulait avoir dans ses mains toujours un Martinet en parfait état et qu’il n-y manque pas une seule laniere en cuir! pour nous fesser séverement nos fesses !avec! Et en plus nous étions moi et mes 3 autres soeurs obligées de porter nos blouses en nylon ,boutonnées dos toute la journée , à l’école certes mais aussi à la maison,et meme lorsqu’on sortaient et aussi notre mere nous faisat mettre de larges bretelles à 4 branches en elastique rouges à pinçes avec nos jupes et c’était comme ça jusqu’à nos 16/17 ans !et toujours bien tendues , de ce fait dés qu’on s’abaissait tout de suite nos jupes se soulevaient avec nos bretelles ,ce qui était parfait pour nous fesser tout les 4 au Martinet!. et nous avons ainsi été élevées de cette façon par notre mere,! et gare si au matin nous serions partis en oubliant soit nos blouses ou nos bretelles ! la on aurait vraiment été séverement fessées !De ce fait on avait un peu la crainte de notre mere et de son Martinet !,qu’elle avait en permanance dans une de ses poches de blouses en nylon,tout comme nous!

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