9 trucs qu’on dit à nos enfants quand ils sont (un peu) malades

enfants malades

S’il y a un truc que nos enfants assimilent vite, c’est la force de persuasion du thermomètre.

Et pendant qu’on discute de savoir qui de papa ou de maman va rester à la maison pour surveiller la descendance, Choupinet savoure son bonheur avec une délectation presque invisible. Histoire de ne pas éveiller les soupçons.

Enfants malades vs parents bienveillants

Oui, dès qu’un enfant renifle, ses parents se montrent souvent prêts à tout pour le soulager. La preuve par 9.

1 | Ne t’inquiète pas, tu retourneras à l’école dès que tu iras mieux.

Ca tombe bien, c’est pile poil ce que Choupinet a envie d’entendre. Après tout, vous connaissez un enfant prêt à renoncer à deux jours d’école buissonnière, vous ?

2 | Tu veux un plaid ?

Le parent d’enfant malade est toujours très attentif. Il ne faudrait pas que son petit lutin attrape autre chose. Du coup, il se sent obligé d’assurer un service 5 étoiles luxe.

3 | Allez d’accord, tu peux regarder Raiponce en entier.

Outre le fait que la maladie ouvre droit à trois bonnes rasades de Doliprane par jour, elle permet aussi d’avoir accès à l’ensemble de la collection Disney en replay. Un avantage non négligeable qui pourrait pousser les plus courageux à affronter l’hiver en tong. On ne sait jamais, une rhinopharyngite est si vite arrivée !

4 | Laisse tomber les haricots verts. Tu préfères un yaourt ?

Depuis que Choupinet a entendu de la bouche du médecin qu’un enfant malade a le droit de manger ce qui lui fait plaisir, pas question de louper un repas. Il ne faudrait pas ajouter de peine à la douleur, non plus !

5 | Oh, mon pauvre chouchou d’amour.

Oui, l’enfant adore se faire plaindre, particulièrement quand il a un pet de travers. Et comme le monde est bien fait, le parent kiffe prendre soin de son môme avec autant de compassion que lors du dernier AVC de Mamie Roberte, 102 ans au compteur.

6 | Si tu veux, on peut jouer tous les deux tout l’après-midi.

Le parent d’enfant malade est bienveillant. C’est dans sa nature. Alors qu’il déteste d’ordinaire jouer au Playmobil, il peut y passer des heures si le thermomètre dépasse la barre des 39.

7 | N’hésite pas à me demander si tu as besoin de quelque-chose.

C’est avec ce genre de petites phrases généreuses que le parent d’enfant malade finit par mettre la puce à l’oreille de son môme. Et si la maladie ouvrait droit au privilège de la vie de château le temps de quelques heures ?

8 | Mince, tu as mis des miettes de biscuits partout. Attends, je vais nettoyer.

Non, là, faut pas déconner. La maladie de Chouchou ne doit pas vous transformer en carpette. A ce rythme-là, il va vous demander de faire la vaisselle.

9 | Ça va mieux là ? Non ?

Ah, je vous reconnais mieux. Parce qu’une journée de fièvre, ça suffit. On va peut-être passer à autre chose maintenant, hein ?

PS : une pensée à tous les parents qui affrontent avec amour et abnégation les petites et grandes maladies de leurs enfants.

Et vous ? Quels sont les petits bonheurs de vos loulous quand ils sont malades ? Et à quoi êtes-vous prêts pour leur faire passer un moment agréable ?

Crédit photo : enfant malade

Article posté le 29 mars 2017 et mis à jour le 13 juillet 2022 dans Humour et humeur, Habitudes de parents, Santé

Par Olivier

Papa d'une petite fille belle comme le jour, Olivier est aussi le fondateur de Je suis papa en 2011. Même si sa photo de profil ne le montre pas, sa paternité lui a fait perdre tous ses cheveux, mais pas le moral. C'est déjà ça ! Convaincu que les enfants sont l'avenir du monde, il milite pour faire entrer Peppa Pig à l'Elysée. Un poil lunatique, il retrouve en général le sourire autour d'un bon verre de vin. 


8 COMMENTAIRES

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  1. Emeline de "petit enfant deviendra grand"
    le

    Ma fille est ravie quand je lui dis: « je vais rester à côté de toi jusqu’à ce que tu t’endormes », sachant que je finis par m’endormir à côté d’elle (ce qui ne me pèse pas tant que ça en fait!!). Je ne le fais jamais d’habitude. Il faut dire aussi que c’est bien plus pratique pour moucher un nez toutes les 30 secondes…

    Quand je vois qu’elle n’est pas bien, que je prends sa température et que le verdict tombe, je me dis « oh, ma pauvre choupinette! ». Mais aussi (j’avoue!!!): « oh non, on est samedi » ou « oh non, il est 19h30 et demain, c’est férié ». Parce que c’est toujours quand il n’y a pas de médecin que ça arrive, ha ha!

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  2. Coralie
    le

    En général quand je sens que ma fille est malade j’ai tendance à « minimiser ». Elle n’a que 2 ans et je débute encore dans l’art d’être maman comme il faut. Et quand je prends sa température et que je vois qu’elle est effectivement pas bien, je lui dis tout simplement qu’effectivement elle a de la température mais que ce n’est rien de grave car maman va la soigner très vite.
    En me rendant une seule fois « esclave » d’elle car elle s’était bien fait mal, je me suis rendue compte qu’elle en faisait toute une affaire et profitait de la situation et j’ai vite stoppé cette attitude.

    Mais comme je le dis, elle n’a que 2 ans et le reste est à venir. Héhéhéhé!

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  3. Picou
    le

    Ah ah! Faut dire aussi que quand ce qu’ils ont n’est pas bien grave, ça nous arrange bien d’avoir une occasion de les couver quand ils sont tout mollassons, et ça nous fait des calins en plus ;o)

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  4. Maman Nouille
    le

    Je ne sais pas trop comment je suis avec mes enfants quand ils sont malades mais ce qui est sur c’est que je suis comme une enfant quand je suis malade (et j’en profite 😉 )

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