Terrible two : 9 astuces pour en venir à bout (ou presque)

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Quand on évoque les horreurs de l’enfance, c’est souvent l’adolescence qui vient à l’esprit : ce moment tant redouté pendant lequel votre môme se débat péniblement, saoulé par ce flot d’hormones qui l’assaille.

Mais ne nous y trompons pas : si pour des parents débutants, l’adolescence peut ressembler à une descente aux enfers, le terrible two en a aussi mis plus d’un au tapis.

Depuis que votre enfant a pris conscience de sa relative indépendance, il ne nourrit qu’un objectif : lancer un putsch, devenir Calife à la place du Calife et imposer un nouveau régime politique sur le territoire familial, à coups de distribution de Haribo et de jets de caca mou sur les murs.

Et évidemment, malgré tout l’amour que vous lui portez, vous n’êtes pas décidé à laisser votre chiard vous grignoter le cerveau, neurone par neurone.

Gérer le terrible two en 9 astuces

Rassurez-vous, le terrible two est une étape incontournable du développement d’un enfant. Que vous y passiez est donc une bonne chose, puisqu’il est nécessaire que votre chiard apprenne à exprimer sa frustration.

Armé de sa récente maitrise de la négation, votre môme est en train de vous avoir à l’usure ? Peut-être, mais vous n’avez pas dit votre dernier mot !

TOP 1 | Terrible two : ne lâchez jamais l’affaire

Votre chiard use vos nerfs, vous hérisse le poil, vous casse les oreilles ? Tenez bon. Le pire service que vous pourriez lui rendre serait de le laisser vivre pleinement ses caprices et ses colères. Pour lui permettre de maîtriser sa frustration, de canaliser ses émotions, de percevoir les limites que vous lui imposez, il a besoin de vous et de votre constance.

TOP 2 | Terrible two : définissez des règles claires

Si comme moi, vous n’aimez ni l’autorité ni la contrainte, il va falloir vous faire violence. Votre môme a besoin de connaitre vos limites. A vous de les définir et de lui en faire part. A lui de les tester et éventuellement de les dépasser. Tout ça dans la bienveillance. Car il ne s’agit pas de confondre fermeté et autoritarisme…

TOP 3 | Terrible two : restez ferme

Vous l’avez sans doute remarqué, un enfant ne s’arrête que très rarement à un « non » ferme et définitif. Il revient à la charge jusqu’à vous faire craquer. Mais conscient de la nécessité de faire preuve d’assurance, vous ne cédez pas à ses assauts et restez ferme sur votre position, sans fermer la porte au dialogue.

TOP 4 | Terrible two : maitrisez-vous

Attention, fermeté ne veut pas dire colère. Vous devez exprimer votre refus avec calme et assurance, avec force et détermination. Sans jamais tomber dans la violence. N’oubliez pas que vous êtes un modèle pour votre enfant. Si vous vous montrez colérique, il pourrait vous imiter.

TOP 5 | Terrible two : ne soyez pas rancunier

Evidemment, un refus ou un ordre de votre part peut très vite mettre votre môme en boule. Montrez-lui que vous comprenez ce qu’il peut ressentir avec des mots simples, tout en restant inflexible. Et surtout, ne faites pas preuve de rancune, une fois la colère apaisée. Ne revenez-pas sur son attitude, réconciliez-vous avec lui, proposez-lui un moment câlin et reprenez vos activités. La parenthèse est fermée.

TOP 6 | Terrible two : faites preuve de ruse

Certaines ruses peuvent permettre de calmer les ardeurs de bébé… au moins pendant quelques temps. Donnez-lui par exemple l’occasion de faire des choix. S’il ne veut pas se laver, demandez-lui par exemple s’il préfère se rendre sous la douche « avec le canard jaune ou la baleine bleue » ? Le coup du minuteur, que vous prendrez soin de lui montrer, peut aussi s’avérer utile pour marquer la fin d’une activité par exemple.

TOP 7 | Terrible two : donnez-lui accès au langage

Si votre enfant est en colère, c’est souvent parce qu’il n’a pas d’autres solutions pour exprimer ce qu’il ressent. Aidez-lui à formuler ses émotions avec des mots simples, appuyez-vous sur des livres ou des chansons. Les cris disparaitront peu à peu avec l’acquisition du langage.

TOP 8 | Terrible two : laissez passer les crises

Ca c’est l’astuce qui divise. Pourtant, ceux qui ont tenté le coup connaissent le résultat. Mettre son enfant en retrait (au coin en quelque sorte) lui permet de retrouver ses esprits et de comprendre que son comportement n’est pas correct. Une fois votre môme calmé, expliquez-lui sans reproche les raisons de votre conflit. Et tout devrait revenir dans l’ordre rapidement !

TOP 9 | Terrible two : donnez de l’amour

L’amour, c’est la clé de tous les problèmes. N’oubliez jamais de dire à vos enfants que vous les aimez, qu’ils se comportent correctement, ou qu’ils cèdent à leurs émotions.

Quelques livres pour aller plus loin :

Et vous ? Quelles sont vos astuces pour résister au terrible two ?

Article posté le 16 janvier 2014 et mis à jour le 26 janvier 2023 dans Questions de parents, Développement de l'enfant, Eveil et développement

Par Olivier

Papa d'une petite fille belle comme le jour, Olivier est aussi le fondateur de Je suis papa en 2011. Même si sa photo de profil ne le montre pas, sa paternité lui a fait perdre tous ses cheveux, mais pas le moral. C'est déjà ça ! Convaincu que les enfants sont l'avenir du monde, il milite pour faire entrer Peppa Pig à l'Elysée. Un poil lunatique, il retrouve en général le sourire autour d'un bon verre de vin. 


81 COMMENTAIRES

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  1. Babidji
    le

    Là où je ne suis pas d’accord c’est que Bouchon a eu 3 ans le 20/12 et que bah ça continue ! moi je croyais bêtement que ça s’arrêtait le jour de l’anniv’ ;)))

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  2. clara
    le

    Haha pareil que Babidji, je suis très déçue car mon terrible two est depuis quelques semaines devenu un terrible three…avec encore plus de répartie et de volonté de s’opposer et une rhétorique à toute épreuve! au secourrrrrs!

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  3. coralie de cetaitcommentavant
    le

    Ne pas s’énerver, ne pas s’énerver, ne pas s’énerver ! Pour moi le plus dur est de garder mon calme mais je fais un gros travail la dessus et ça se passe beaucoup mieux ! Et je pense aussi que l’accès au la parole, le fait que la mienne puisse s’exprimer beaucoup facilement maintenant, (2 ans et demi et elle parle bien) permet de désamorcer de nombreux débuts de crises.

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  4. shentae
    le

    c’est rassurant de lire ça mais n’empêche qu’on se sent vraiment impuissant parfois en tant que parents, et manque de sommeil aidant, au bord de la rupture familiale. Surtout quand les crises sont quotidiennes, démarrent d’un tout petit rien, avec un niveau de décibels proche d’une sirène de pompier…

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  5. Agnès
    le

    Il y a une « feinte » qui peut aider aussi, c’est de moins dire « non » pour qu’il le dise moins aussi. Remplacer ce mot par d’autres : « plus tard » ou « peut-être » quand c’est possible, « stop » quand c’est pour l’empêcher de faire une bêtise : évidemment, il utilisera aussi ces mots, Simon a vite compris qu’il pouvait dire « stop » en mettant sa main sur ma bouche pour m’empêcher de lui chanter une berceuse quand il ne voulait pas aller au lit, ou « peut-être tout à l’heure » quand on lui demandait de lâcher son jeu et venir manger, mais justement ça évite pour lui aussi de se mettre dans une attitude de « non » ferme qui va déboucher sur une bouderie.
    Autre astuce qui marche, dire « quand tu auras… » plutôt que « si tu… » car souvent à cet âge il ne perçoit pas les effets de cause à conséquence (et ses erreurs lui servent rarement de « leçon »), mais il perçoit bien la chronologie des événements.
    Pour le langage, il peut aussi être utile d’y associer des gestes, car il peut prononcer beaucoup de mots de la même façon. Comme cela a été montré sur l’utilisation du langage des signes avec des bébés de moins de 6 mois, cela ne retardera en rien l’acquisition ni la progression du langage. Cela peut même le faire progresser car tous ces moments d’énervement quand il n’arrive pas à se faire comprendre freinent sa joie et son envie d’apprendre.

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    • Chouquette
      le

      Suis preneuse !! Famille recomposée Mr 6 parle très bien à 2 ans et demi connait l’alphabet et compte jusqu’à 30. Mais se prend pour le nabab de la casa et essaie de mener parents et fratrie ! Non non non à chaque sauce.. Et des comédies. Nous ne cédons pas mais nous sommes hs.. Combien de temps on va tenir ???

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  6. Agnès
    le

    Pour ce qui est de le mettre au coin, ce n’est peut-être pas une bonne solution quand l’enfant se sent puni, mais cela nous permet de prendre du recul. Il se trouve que, parfois, ignorer superbement son cinéma peut le calmer aussi : regardez-le puis détournez vous et vaquez à vos occupations. Ou dites lui simplement « je m’en vais avant de m’énerver » et allez boire un verre d’eau. Parfois aussi, quand Simon a fini par se mettre à pleurer et sanglote sans pouvoir s’arrêter, je lui mets un biberon d’eau dans la bouche et je presse la tétine pour lui mouiller la langue : il se met à boire et ça lui permet de calmer sa respiration et de s’apaiser, avant de réclamer un câlin.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Exactement, mettre au soin, isoler, ignorer… pour moi, tout ça, c’est du même registre. Une façon de laisser bébé taper sa crise s’il en ressent le besoin, avant de retrouver son calme !

      Répondre
  7. Julia
    le

    Ouaip! bah c’est bien joli la théorie…!! faut se les farcir quand meme parfois après des bonnes journées de boulot! et puis pourquoi y a des jours avec et des jours sans? voire même des moments avec et des moments sans. ici machoupàmoi est capable de la pire colère pour pas mettre son manteau, et deux secondes après de la meilleure blague brillante d’intelligence et d’espièglerie qui donne envie de la caliner… gggrrhhh

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  8. Clairou
    le

    Hhheeeuuuuuu oui oui mais c est dur!!!!!!!!!

    Et zut moi qui croyait que dans 15 jours ça allait être finit…. Merci aux briseuses de rêves…. Lol

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  9. Agnès
    le

    En fait on ne devrait pas PROPOSER du yoga prénatal comme préparation à l’accouchement on devrait IMPOSER du yoga tout court comme préparation à la parentalité, pour les deux parents, dès le test de grossesse positif. Parce que oui, la théorie c’est bien joli, mais c’est vrai que quand on est confrontés à ces moments stressants c’est trop tard pour apprendre à se calmer…

    Répondre
  10. Petya
    le

    Chez nous le terrible Two a dure de ses 18 a ses 25 mois . Ça s’est arrêté a la naissance de sa petite sœur . Donc …. Faites des enfants lol. En revanche je ne sais pas ce qui va arrêter la crise chez la deuxième qd ça commencera parce qu’on veut que 2 enfants 🙂 pauvres de nous

    Répondre
  11. netaddicta
    le

    La seule solution : attendre qu’ils grandissent, non? De notre côté, je trouve que cela s’apaise depuis quelques semaines avec de longs moments (deux heures l’autre jour!) où elle peut jouer tranquillement à côté de nous pendant que chacun vaque à ses occupations. Il paraît que l’entrée à l’école fait des miracles aussi (plus que quelques mois!). L’idée de bébé 2 fait partie de nos ressources aussi mais là y a pas que nous qui décidons! Enfin, quelques jours en amoureux à goûter au plaisir de ne pas crier toutes les 5 minutes permettent de revenir plus apaisé et cela fait vraiment du bien!

    Répondre
  12. Aline
    le

    Ahhhhh !!!
    20 mois, jamais aucun souci pour le coucher (enfin pas top pour la sieste, mais toujours très facilement, sans pleurs ni rien le soir), et depuis deux jours, pas moyen… C’est déjà le début ? Ça va être ch*** comme ça tout le temps ?!
    Au secours !

    Répondre
  13. Sophie Hérisson
    le

    Voilà qui pourrait servir, mais pas tout de suite 🙂 Ravie d’avoir poussé jusqu’ici pour découvrir ton blog Olivier! Bonne soirée!

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  14. Mon éléphant à pois
    le

    Merci pour tes astuces, que je garde au chaud pour pouvoir les appliquer ! Ma fille est en plein dans cette période pénible.

    Répondre
  15. Jean-Claude/ Mapuru
    le

    Comme le dit Big Mama plus haut « maîtrisez vous » parce que le « terrible two » n’est pas prêt de s’arrêter( au risque de décevoir )avec l’entré a l’école, cela ne fait qu’apporté plus d’expérience et de vocabulaire a l’enfant qui ce fait une joie de ramener ça a a la maison pour testé toutes ces nouveautés sur papa.
    Le « même pas en rêve » qu’Olivier reprend dans une de ces réponses m’a été sortie par mon fils, au retour de l’école lorsqu’il devais avoir 3 ou 4 ans lorsque je lui avais dit de prendre son bain dès notre retour a la maison, tout de suite corrigé par un PARDON !!! énergique et vigoureux de ma part ( grosse voix et sourcils froncés ) mais voila c’était une expression qu’il venais d’entendre a l’école et pensais que cela allez faire rire son papa,après explication cela c’est très bien passer et n’a plus recommencer, alors bon courage a tous ceux qui ne sont pas encore passez par la et restés ZEN…

    Répondre
  16. Anne-Estelle
    le

    Moi je ne crois pas au terrible two… Parce que si on en croit les spécialistes, il y a le terrible two, puis le ferocious fours… et l’âge bête, puis l’adolescence… bref, en fait, y a jamais de moment où l’enfant est normal?

    Je pense que ce n’est pas une question d’âge, même si les enfants passent forcément par des périodes où ils testent plus les limites et cherchent à s’affirmer.

    Je pense que c’est la manière dont les parents gèrent le besoin d’indépendance des enfants… enfin, c’est ma théorie 🙂

    Répondre
  17. Elfie
    le

    Alors je confirme, l’école ça ne fait qu’empirer la chose!! Ma fille à 3 ans et demi et depuis qu’elle va à l’école, elle pique des crises en hurlant dès que ça n’est pas comme mademoiselle avait décidé…ça a toujours été une petite fille adorable et depuis l’école, je ne reconnais plus ma fille. On a tout essayé, le coin, la fessé et même le chantage, rien n’y fait…! Un petit frère ou une petite sœur est prévu pour Juillet, espérons que ça la calme…

    Répondre
  18. Cloe D.
    le

    N°1 entre dans la pré-adolescence et N°2 est en plein dedans. Je vais vraiment devoir m’armer de patience pour les supporter ces deux-là!

    Répondre
  19. Flora
    le

    Merci! Grace a ce post brillant, j ai pu realiser que mon fils qui est en plein dedans depuis ses 23 mois en decembre dernier , l est essebtiellemnt a cause de son manque de language. Il ne parle que dans sa langue a lui helas alors ça le frustre terriblement de ne pas pouvoir communiquer. La ou on a fait des progres est dans le couché, maintenant il ne se releve plus 15 fois d affilees pour passer nous voir quand on l a couché!!! Vivement qu il parle quand meme car cela me stresse quand il est malade, j aimerais qu il puisse me dire s il a mal au ventre ou aux oreilles! Je ne suis pas medecin moi!!

    Répondre
    • Olivier
      le

      J’avais la même angoisse avant. Et maintenant qu’elle parle, j’aimerais parfois qu’elle se taise… mais ça c’est plus possible évidemment 😉

      Répondre
    • Caroline
      le

      Bonjour! Je rejoins le fil 2 ans plus tard ^^ Mais en lisant ton post, une question m’a brûlé les lèvres! Mon fils est bien sûr en plein ds le terrible two (et moi au bord de la crise de nerfs…) et pour couronner le tout, parle dans sa propre langue (ce qui est très frustrant également…). Notre entourage nous pompe le dard à cause de ça et nous avons continuellement le droit aux petites réflexions qui pic du genre « vous lui laissez tout passé, vous manquez d’autorité, vous l’avez trop couvé lorsqu’il était encore tout petit, etc. » mais s’ajoute à cela « c’est quand même étrange qu’il ne parle toujours pas correctement? Reprenez-le pour lui apprendre… Mais vous lui parlez sinon? »… Bref… Alors, rassure moi Flora, il est zen et parle maintenant hein?? 🙂

      Répondre
      • Olivier
        le

        Ne panique pas là-dessus, les enfants avancent à leur Rythme. Et si tu es vraiment inquiété, un tour chez ton pédiatre ou chez une ortho devrait te rassurer.
        Quant aux éternelles remarques sur l’autorité, dis-toi que l’éducation bienveilante n’est pas encore entrée dans les moeurs, et souvent très mal comprise. J’ai fait plusieurs article sur le sujet que tu trouveras dans la rubrique « questions de parents ».
        Bon courage pour ce passage un poil difficile 🙂

        Répondre
  20. Nini
    le

    Eh bah, merci pour ce post car mon fils de 16 mois commence justement et je pète déjà un câble!
    Entre la fatigue, le manque de sommeil, le travail, le papa et moi sommes à bout et on n’est parfois pas d’accord entre nous ce qui créé encore plus de tension dans la famille… Pfffffffffff dur dur!

    Répondre
    • Olivier
      le

      Les tensions qui naissaient entre nous, c’est ce qui nous a décidé à aller voir la pédopsy… parce qu’on sentait qu’on perdait le fil et qu’on était pas très sûr de la réaction à adopter face aux délires de bébé !
      Du coup, elle nous a pas mal rassuré, et on n’est beaucoup plus en phase. Ce qui n’empêche pas bébé de péter un câble régulièrement évidemment !
      Bon courage 🙂

      Répondre
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    Répondre
  22. lylou
    le

    Le terrible two normalement si je traduis c’est 2 ans ça aussi c’est faux parce que bébé commence bien quelques mois avant hein même sil ne dit pas non il le fait très bien comprendre :-/ en même temps on passe u peu notre temps a lui dire non n’ouvre pas le placard ne tape pas ne jette pas ! Le coin jessaye avec poussinette mais du haut de ses 15 mois pas sur qu’elle comprenne pourquoi elle va au coin et puis elle n’y reste pas…. pffff c’est pas simple tout ça et bien sur c’est le soir en sortant du boulot lol faut être direct opérationnelle

    Répondre
  23. Guillaume
    le

    On a ledroit de déterrer les posts? Parce que Jo vient d’y entrer dans son terrible 2…

    Très bon article surtout la partie sur la constance: je crois fermement au fait qu’à tout âge, les enfants de cherchent, explorent leurs limites. Nous, en tant qu’adultes les connaissons (plus ou moins…) à nous de les énoncer, les rappeller le cas échéant, et surtout de les tenir ! Il serait dévastateur ( à mon avis) de modifier les limites et nos comportement en cours de route. Nous devons être des repères (stables par définition) et non des girouettes si nous voulons que nos petits se sentent en confiance.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Et oui… et ce n’est pas le plus facile. Parce que nos enfants savent jouer avec nos nerfs et s’engouffrer dans la brèche pour profiter d’un moment de fatigue, de manque de lucidité, de ras le bol… mais tu vas t’en rendre compte rapidement 😉
      Amuse-toi bien !

      Répondre
  24. lylou
    le

    5 mois se sont passés et je reviens sur le post du terrible two qui je crois est en train de faire son entrée chez nous :-/ elle ouvre les placard tape et claque les portes tape avec la télécommande sur la table et j’en passe O.o le non na aucun effet le coin faut la remettre plusieurs fois pfiouuu et bien sur c’est le soir en sortant du travail zen restons zen

    Répondre
    • Olivier
      le

      En écrivant cet article, je ne pensais pas que ça pouvait durer si longtemps : A 3 ans et demi, Mychoup’ est toujours en plein dedans et je ne vois pas le début d’une issue… bon courage !

      Répondre
      • Fofie
        le

        Et bien moi je n ai pas connue le two mais je suis en plein dans le five!!!!!
        Au secours maman solo et petit bonhomme caractériel, il a (veut avoir) toujours le dernier mot et dit non à tout !!!!!

        Répondre
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  26. Hamelinna
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    Ca y est, nous y sommes nous aussi. La Miniloutre a 22 mois, et elle a commencé sa phase d’opposition depuis environ un mois. Petite présentation du tempérament de la Bête : très active, incapable de tenir plus de 2 minutes sur une activité, intenable en intérieur, par ailleurs très sensible et partageuse. Elle veut tout le temps être fourrée dans mes pattes et suit à la trace le moindre de mes gestes (jusque dans les toilettes).

    L’issue que j’ai trouvée : sortir ! Il fait froid, il vente ? Tant pis ! La grosse doudoune, le bonnet, et on y va en marchant. On se fait des promenades de 2h, à son rythme, en s’arrêtant devant tout ce qui l’intéresse.

    Autre chose qui la contient un peu quand on est à la maison : je lui confie des petites « missions ». Genre mettre dans le panier à vapeur les légumes coupés, ranger ses chaussettes dans leur tiroir, jeter sa couche à la poubelle, donner à manger au cochon d’inde. Toutes ces petites missions la rendent très fière d’elle, et quand je sens une crise arriver, le fait de la charger de quelque chose d’importance extrême (à ses yeux tout du moins) permet de désamorcer la situation.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Les sorties, c’est aussi la solution qu’on a trouvé depuis bien longtemps. Impossible de rester à la maison.
      Mais tu as aussi raison sur les « missions ». C’est une vraie bonne astuce pour responsabiliser nos enfants et canaliser leur trop-plein d’énergie 🙂

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  33. Francois-Xavier
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    Bonjour,

    Merci pour cet article.

    Cette période que l’on nomme « terrible two » a valu sa première fessée à notre plus grand (aujourd’hui âgé de 10 ans) car nous pensions simplement à l’époque que c’était la période d’opposition de l’enfant et qu’il fallait lui montrer qui « commandait » (en l’occurrence nous les parents). Cela ressemblait plus à une lutte d’ego voire à du « dressage » (le mot est un peu fort mais reflète bien la situation que nous vivions alors) du fait que nous n’étions pas vraiment à l’écoute de notre poussin et souvent pressés.

    Je me suis senti tellement mal après cette fessée (malgré tout douce en comparaison de celles que j’avais pu recevoir quand j’étais enfant) que je me suis juré de trouver d’autres solutions. J’ai depuis compris que l’opposition de l’enfant active certains mécanismes chez l’adulte qui réagit alors plus qu’il ne réfléchit.

    Grâce à la parentalité bienveillante, en prenant davantage le temps de s’écouter soi et de discuter avec nos enfants (de tisser le lien), en lisant (un blog comme le vôtre, les livres sur le sujet…) et en discutant avec des professionnels de l’enfance : nous avons trouvé des solutions. Cela change complètement la donne dans notre famille et autour de nous.

    Une dernière chose : dans cette période, notre plus petit traînait régulièrement les pieds au moment de s’habiller pour aller chez la nounou. Cela provoquait une certaine panique, car nous ne voulions pas être en retard au travail, qui se terminait, le plus souvent, en cris et en un rapport de force avec l’enfant pour l’habiller. Nous avions résolu cela, après différents essais, en le levant 1/4 h avant le plus grand afin qu’il ait plus de temps pour jouer avant d’accepter de s’habiller (c’est apparemment ce qu’il voulait)…

    Répondre
    • Olivier
      le

      Merci de ton témoignage, qui sent le vécu ! Comme tu le dis, ça ressemble à une lutte d’égo. J’ai ressenti exactement la même chose. Pas facile de trouver le juste milieu dans l’attitude à adopter. pas facile non plus de décrypter les attentes de nos petits ni de trouver un terrain de consensus. Pas facile enfin de faire preuve de fermeté lorsque nécessaire, tout en gardant cette bienveillance rassurante pour l’enfant.
      Bref, la vie de parents quoi 🙂

      Répondre
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  35. Black Beauty by Swan
    le

    Moi j’ai l’impression que cette situation est apparu dès les neuf mois de mon fils lorsqu’il a appris à marcher et comprendre les choses

    Répondre
  36. Moi
    le

    Le fait que vous employez les mot « chiard » et « môme » pour désigner nos enfants, ne donne tout simplement pas envie de lire votre article… Le respect, vous connaissez ?!

    Vous apprendrez ensuite que les caprices n’existent pas. Je vous suggère la lecture d’une interview d’Isabelle Filliozat sur le sujet afin de comprendre pourquoi.

    Une petite astuce : les enfants ne sont que peu sensibles aux phrases négatives. Si je vous dit « ne pensez pas à un gâteau au chocolat ! », à quoi pensez-vous ? Vous avez compris ? Il faut tourner ses phrases de façon positive, et utiliser le « stop » à la place du « non », par exemple : « Stop ! Le chat tu peux le caresser. » (s’il lui tire la queue par exemple).

    Et enfin, l’isolement, que ce soit au coin, dans la chambre, dans le lit, sur une chaise, à la cave, n’importe où, c’est une violence éducative, et ça n’a rien de constructif. Vous espérez réellement qu’un enfant de 2 ans comprenne quelque chose la tête dans un coin ou les fesses sur une chaise ? C’est à VOUS de communiquer avec lui, si vous espérez qu’il comprenne quelque chose.

    Personnellement, mis à part le fait que vous bannissez la fessée et que vous suggériez de proposer des choix à l’enfant, l’article n’a pas grand chose de bienveillant…

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    • Olivier
      le

      Ce que je déteste le plus dans les commentaires de ce blog, ceux sont ces gens (rares heureusement) qui débarquent de nulle part pour asséner des vérités et émettre leurs jugements divins sur un ton péremptoire et forcément au-dessus de la mêlée, sans prendre le temps d’analyser les propos des uns et des autres. Et je me dis que s’ils font preuve d’autant d’humilité, d’écoute et de compréhension avec leurs mômes et plus généralement les gens qui les entourent, ça ne doit pas être beau à voir. Mais ça c’est leur problème.
      Allez bisous !

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      • Moi
        le

        Pas besoin de se sentir « au dessus de la mêlée » pour se rendre compte qu’utiliser le terme « chiard » pour désigner un enfant, ce n’est pas respectueux…
        En quoi je ne fais pas preuve d’humilité, d’écoute, et de compréhension ? Votre article je l’ai lu. Et contrairement à ce que vous dites, je l’ai analysé.
        Mettre son enfant au coin fait partie de la liste des VEO contre lesquelles nous luttons. Que vous l’acceptiez, ou non(apprentissage de la frustration ?)… 😉
        C’est assez hypocrite de vous prétendre « papa bienveillant » si on dénigre les valeurs de l’éducation positive.

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        • Olivier
          le

          Où avez vous lu que je me revendiquais « papa bienveillant » ?
          Il y a mille façon de mettre un enfant à l’écart (ce que certains appellent « mettre au coin »). Et il y a autant de raisons bienveillantes d’y recourir dans certaines situations, quand l’intention est accompagnée d’une présence notamment. Mettre à l’écart ne veut pas dire nécessairement rejeter. si ça avait été le cas, les 8 autres astuces évoquées dans le billet n’auraient d’ailleurs plus grand intérêt.
          J’imagine que vous découvrez tout juste ce blog au travers de ce billet car j’utilise très régulièrement les sobriquets évocateurs de « chiard », « farfadet », « minion », « lardon » et aussi « daron » ou « vieu » ou « remps », parmi d’autres. Si vous avez tout à fait le droit de les trouver « irrespectueux » – et j’en suis désolé -, vous devriez prendre un peu de recul et gratter le vernis des mots avant d’émettre des jugements. Vous verrez, ça fait du bien de faire preuve de légèreté parfois.

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          • Moi
            le

            Vous avez vous-même utilisé le terme « bienveillance » dans votre article. Donc je suppose que vous y adhérez…
            Oui, en effet, je découvre tout juste ce blog, car votre article a choqué sur un groupe de parents anti-VEO. J’étais donc venue constater par moi-même…
            Bon, si le terme « chiard » est de l’humour, tant mieux. On n’a pas le même, mais bon, c’est pas un crime on va dire, du moment que vous ne qualifiez pas vos enfants de la sorte en leur présence…
            Isolement, ça veut dire isolement pour moi. Isolé veut dire seul, donc non-accompagné…
            Et je vous encourage vivement de vous intéresser à ce qui se cache sous le terme « caprice », qui pour moi est une expression « fainéante ».
            J’ai vu que vous aviez effacé le lien que je vous avais partagé concernant l’interview d’Isabelle Filliozat, pour quelle raison ?

          • Olivier
            le

            le terme « bienveillant » n’appartient pas aux tenants de l’éducation bienveillante. Et pour ma part, je ne me revendique d’aucune chapelle.
            J’ai rencontré Isabelle Filliozat il y a quelques temps. Nous avions eu une conversation intéressante sur (en substance) la nécessité pour les parents de ne pas prendre pour parole d’évangile ce qu’il pouvait lire dans les livres, les magazines, els sites et ailleurs, mais plutôt de considérer cette matière comme autant d’outils, librement utilisables (ou non) et propres à affronter des situations complexes et souvent uniques. C’est regrettable que certains se contentent de recracher ce qu’ils lisent dans les livres plutôt que de l’éprouver et éventuellement de l’enrichir à leur manière. Après tout, il n’y a pas une manière d’être parents. Et éduquer un enfant par le dogme et le principe me parait vain.
            A ses deux ans, il arrivait parfois à ma fille de se mettre en colère pour rien, et à nous rejeter, car nous incarnions probablement la raison de sa colère. La mettre à l’écart lui permettait de retrouver son calme, en balançant quelques jouets notamment. Et le fait que nous gardions ouvertement un oeil sur elle contribuait à la rassurer. Quand nous la sentions plus « open », nous revenions alors vers elle jusqu’au contact, signe d’une ouverture vers le dialogue et le moment de réconfort qui suivaitt.
            D’autres fois, elle nous a surpris lorsqu’elle est allée seule dans sa chambre alors que sa colère montait, pour revenir quelques minutes plus tard, nous indiquant fièrement qu’elle avait retrouvé son calme et qu’elle était ok pour nous expliquer les raisons de sa colère. Et aujourd’hui qu’elle a la parole, elle nous dit encore parfois qu’elle veut rester seule un moment, quand elle est agacée.
            Bref, la mise à l’écart, encore une fois, ce n’est pas systématiquement du rejet. Mais pour le comprendre, il faut sortir des livres.
            J’utilise une fois le mot caprice dans ce texte car il est évocateur pour beaucoup de parents, et n’exprime pas nécessairement pour tous ce que vous semblez y mettre. On ne va pas rentrer dans une analyse sémantique maintenant. Mais bloquer sur un mot est assez symptomatique des censeurs qui inondent la toile de leur pensée binaire. Ce qui, à vous lire, ne vous ressemble pourtant pas.
            Je n’avais pas vu que le lien venait de vous. Les liens seuls, sans explication ou éléments de contexte, sont supprimés d’office.

  37. 7 situations de violence éducative ordinaire - Blog Je suis papa !
    le

    […] Terrible two : 9 astuces pour en venir à bout (ou presque) […]

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  38. Lolotte
    le

    Je débarque un peu 4 ans après car je suis dans la situation actuellement et que lire des témoignages fait du bien. Je ne suis choquée en rien par l’article d’Olivier mais bien des commentaires de « Moi ». C’est simple, si l’article ne vous convient pas passer votre chemin. On ne peut pas plaire à tout le monde et aimer tt le monde. Le terme chiard ne me choque pas. En tant que parents nous assumons énormément et subissons parfois nos petits (qui n’y peuvent rien, n’ont rien demandé et blabla.. je suis d’accord) mais nous avons le droit d’en discuter entre adultes,de se décharger pour mieux repartir après. L’éducation est propre à chacun, donc si vous arrivez à rester mielleux avec vos enfants chapeau bas.. encore une fois passez votre chemin si ça ne vous convient pas parce qu’un malheureux chiard est ressorti du texte et que l’éducation qu’on évoque ici ne vous plaît pas.
    Moi ça m’a fait du bien de le lire, de ne pas me sentir seule et de sentir cette pointe d’humour pour lâcher la pression. Alors merci Olivier, j’aime les papas qui s’impliquent et qui le font bien. Joyeuses pâques à tous.

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    • Olivier
      le

      Il faut de tout pour faire un monde, même des extrémistes prêt à convoquer n’importe quel argument pour faire valoir leur pensée toute personnelle, omettant par ailleurs qu’ils ne détiennent ni le savoir absolu ni le pouvoir de commander les autres

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  39. 25 questions qu'on se pose sur nos enfants - Blog Je suis papa !
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  40. Terrible two ! La crise d'ado à deux ans !
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    […] tu veux quelques conseils tu peux aller voir l’article sur le blog de « Je suis Papa » : Le Terrible Two, 9 astuces pour en venir à bout (ou presque). C’est pas con et toujours bon à prendre […]

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  41. Martine
    le

    Bonjour, je n ai pas d’enfant et j’ai proposé à ma soeur de garder sa petite Elise qui… était un ange jusque ses 17 mois et surprise, elle s est transformée en petit diable, qui crie dès que tatie part donner à manger aux lapins sans elle (elle part avec le sac de carottes en courant fachée si on prend une carotte, elle sait que c est pour ses lapins) Les repas c’est « non,non ». On lui donne un jouet ou un truc dans les mains et elle mange. Donne des coups de pieds au moment du change à maman, à sa grand mère. Elle a un peu peur de moi (j’ai de la chance) je fais de gros yeux et elle se calme, je crie mange et elle mange mais très difficile pour la mère et la grand mère. Elle refuse de donner des bisoux à sa mère et sa grand mère mais en donne aux chats, aux lapins, à ses peluches. Pour ma mère qui la garde, c est l’enfer de la mettre au lit, elle crie pour sortir et partir se ballader et la grand mère cède, elle a du mal à comprendre que les enfants peuvent comprendre autre chose que les fessées. Voilà ;o)

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