Kirikou et la Sorcière : tolérance et entraide
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Illustrations
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Qualité de l'histoire
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Divertissement
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Musique
Avis de la rédaction
Des dessins et une histoire sublime.e dans les fables de La Fontaine… Cette seule idée lumineuse (et l’une des morales de l’histoire) que les gens mauvais sont excusables et surtout secourables est proprement extraordinaire. Karaba n’est une sorcière que dans le regard des autres et du fait de la souffrance qu’elle a subie – transformant les autres en « objets obéissants »… Cette séquence finale qui voit la mère reconnaître son fils « avec le coeur » est également magique comme le sont les musiques, les personnages et encore une fois cet univers visuel si particulier. Un flamboyant classique !
Avantages
- Ses dessins et ses couleurs
- Sa morale
- Sa narration
- Ses chants
Inconvénients
- Peu heurter la sensibilité des petits
L’histoire débute dans un village ouest-africain suite à une malédiction lancée par une méchante sorcière qui fait régner la terreur parmi les habitants.
Kirikou, un petit enfant vaillant et téméraire, décide de partir à la rencontre de la sorcière afin de découvrir pourquoi elle est empreinte de méchanceté et pourquoi tous les hommes du village ont disparu.
Une histoire avec des valeurs de tolérance
Une épopée pleine de bon sens, de tolérance et d’entraide.
L’univers et les graphismes très particuliers de ce dessin animé peuvent interpeller mais il s’agit d’une des plus belles œuvres de Michel Ocelot inspirée directement d’un conte africain.
Description technique du dessin animé Kirikou et la sorcière
Date de sortie en France | 9 décembre 1998 |
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Age | à partir de 5 ans |
Durée | 74 minutes |
Genre | Animation |
Réalisation | Michel Ocelot |
Production | Didier Brunner |
Pays d’origine | France, Belgique, Luxembourg |
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Mots clés de ce produit Eveil et jeux, Jeux numériques
Par Samantha