8 signes qui prouvent que vous élevez un enfant unique

enfant unique : enfant roi ?

Si on en croit la parole populaire, celle qui se répand au comptoir des bistrots pour mourir au fond des caniveaux après une vie chargée dans les méandres de notre inconscient collectif, enfanter d’un exemplaire unique reviendrait à condamner le dit marmot à une vie d’égocentrique puant, incapable de la moindre empathie envers ses congénères.

Le syndrome de l’enfant unique en 8 clichés

Vous élevez un enfant unique ? Le texte qui va suivre devrait vous parler. Vous envisagez de ne concevoir qu’un seul mouflet ? Holala, malheureux(ses), avez-vous au moins songé aux conséquences de vos actes ?

Le tour de la question en 8… clichés !

TOP 1 | Il multiplie les amis imaginaires

Vous vous demandiez qui étaient Hector, Jean-Steevy, Martin et Liliane ? Ne cherchez plus. Pas la peine de trainer votre enfant unique chez le psy pour qu’il s’explique sur cette peuplade étrange qui s’agite dans sa caboche. A défaut d’avoir un frère ou une sœur, votre minikeum s’est inventé une fratrie. De prime abord, ça fout les chocottes. Mais finalement, c’est moins bruyant que de remettre ça IRL.

TOP 2 | Il a l’habitude d’être le centre d’attention

A table, vous n’entendez que lui. Au sommet du toboggan, il hurle pour que vous le contempliez. Même quand il s’endort, il a besoin que vous l’admiriez. Bref, avec un ego aussi surdimensionné que le boule de Kim Kardashian, votre mouflon a un peu tendance à se prendre pour le Kanye West des bacs à sable.

TOP 3 | Il s’invente une fratrie

Avec lui, le concept familial prend une tournure surréaliste. Sa meilleure amie est devenue sa soeur, son petit voisin s’avère être son cousin, et son hamster pourrait devenir son demi-frère par alliance. Bref, vous n’y retrouvez plus votre arbre généalogique. Ca vous ronge le cœur, mais pas question de céder. Non, vous ne remettrez pas le couvert. Et pas la peine de vous faire ses yeux de cocker oublié sur l’A6 un jour d’été.

TOP 4 | Il est fasciné par les histoires de frères et sœurs

Quand des frères et sœurs racontent leurs aventures, vous n’entendez plus votre lardon. Il boit leurs paroles, la langue pendante de jalousie. Lui aussi aimerait tant ressentir cette irrépressible  envie d’égorger son cadet comme on éviderait un bœuf égaré dans un abattoir clandestin au milieu du Kazakhstan. Tout ça parce qu’il a piqué les Playmobil de sa moitié. Mais non, votre rejeton est désespérément seul. Du coup, ces poupées vont passer un sale quart d’heure.

TOP 5 | Il fait preuve d’une maturité époustouflante

Alors que vous passiez une soirée paisible chez des amis à écouter du dub en buvant des mojitos, l’exceptionnelle maturité de votre mouflet vous a sauté au visage, lorsqu’il vous a branché sur la question de la subjectivité comme base de la vie humaine, en citant du Kierkegaard (Non, il ne s’agit pas de l’auteur de Petit Ours Brun). Waouh, quel être supérieur !

TOP 6 | Il n’a pas appris à partager

C’est bien simple, le premier qui tente de mettre ne serait-ce qu’un doigt dans son paquet de Haribo tout neuf prend le risque de ressortir de la pièce avec un membre en moins. La dernière fois qu’il a partagé, c’était avec Hector, son ami imaginaire préféré. Mais depuis, il lui a bouffé la tête.

TOP 7 | Vos amis pensent qu’il est trop gâté

On a même inventé une expression toute faite pour décrire un enfant unique. On dit qu’il est gâté-pourri, jusqu’au trognon. Il faut dire… comment peut-on offrir tant d’attention, d’affection, de considération ou d’intérêt à un seul et unique marmot ? Pouah…

TOP 8 | Vous en avez ras le bol d’entendre des clichés sur les enfants uniques

C’est bien simple, depuis que votre mouflon est né, on vous bassine avec le second, à coup de mesquineries du genre « Tu ne vas quand même pas en faire un enfant unique quand même ? ». Et bien si, figurez-vous. Et plutôt deux fois qu’une. Enfin, façon de parler évidemment…

Et vous ? Vous êtes plutôt enfant unique ou multiple ? Ces stéréotypes vous parlent-ils ?

Photo Credit: Thomas Hawk

Article posté le 3 novembre 2014 et mis à jour le 22 mai 2020 dans Humour et humeur, Habitudes de parents

Par Olivier

Papa d'une petite fille belle comme le jour, Olivier est aussi le fondateur de Je suis papa en 2011. Même si sa photo de profil ne le montre pas, sa paternité lui a fait perdre tous ses cheveux, mais pas le moral. C'est déjà ça ! Convaincu que les enfants sont l'avenir du monde, il milite pour faire entrer Peppa Pig à l'Elysée. Un poil lunatique, il retrouve en général le sourire autour d'un bon verre de vin. 


53 COMMENTAIRES

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  1. Petite-Mam
    le

    J’ai été fille unique, est malheureusement il y a des clichés qui sont très vrai.. Concernant le Top 3 & le Top 4 !!!! Je m’inventé des frères et sœurs, j’étais jalouse de mes copains et copines qui eux étaient plusieurs… C’est pour cela que je veux pleins d’enfants..
    Après je n’étais pas malheureuse, mais j’aurai vraiment voulu de la compagnie !! Jouer à un jeux de société seule c’est pas top lol
    Sinon, le reste des Top sont faux !

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    • Olivier
      le

      Pour ma part, je ne crois pas à la vérité universelle. J’imagine que certains enfants uniques n’ont jamais éprouvé l’envie d’une fratrie, et que des frères et soeurs peuvent aussi regretter de ne pas être l’enfant unique dont ils ont rêvé.
      On veut souvent ce qu’on n’a pas, et on regrette souvent ce qu’on a. Pourtant, pour être heureux, il suffit le plus souvent de se satisfaire de ce que le destin nous a donné.

      Répondre
          • Valou
            le

            Entièrement d accord avec toi. Faut être heureux avec ce que l on a et arrêter de regarder ce que l autre a.

          • Olivier
            le

            En tout cas, c’est à mon avis la meilleure façon de tutoyer ce qu’on appelle le bonheur…

          • FleurD'hiver
            le

            J’ai vécu certains de ces clichés d’enfants uniques, j’avais notamment beaucoup d’amis imaginaires , sauf que moi je fais bien parti d’une fratrie !

            J’ai en effet 3 sœurs plus âgées que moi, mais j’ai passer mon enfance seule avec mes parents car elles étaient toutes parti et avaient fondé leur foyer. (Je tiens à préciser que mes 3 sœurs entre elles ont une différence d’âge infime, qui va d’1ans et demi maximum)

            Mes parents ont fait le choix d’avoir un dernier enfant 11 ans après leur dernière fille .
            C’est sur en grandissant je me suis senti en décalage, et je me sentais également plus mature que les autres enfants ou ados qui m’entouraient, de plus n’ayant pas connu les joies de la confrontations dans une fratrie, s’insérer dans la société à été et n’est toujours pas une partie de plaisir. Mais je fais avec , j’aime et je continuerai d’aimer ma famille. 🙂

  2. une Bordelaise à Paris
    le

    Nous avons un enfant. Nous savons que nous en voulons un autre, mais tout de suite.
    Pourtant depuis que notre fils a soufflé sa première bougie la question du petit 2ème devient récurrente (insistante ?!?) dans la bouche de notre entourage.

    Répondre
      • Aok
        le

        Tout à fait d’accord ! Nous en avons un et n’en voulons pas d’autre. Malheureusement j’entends tous les jours « quand est-ce que vous allez faire le deuxième ? Vous n’allez quand même pas le laisser grandir tout seul ? »
        Bah écoute il ne vit pas perdu dans la forêt tropicale donc non il n’est pas seul et si tu veux bien m’acheter un appart de 75 mètres carré minimum, je veux bien envisager le deuxième. En général quand on leur ça, ça calme bien !

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  3. Emma June
    le

    Pour l’instant à part le top 2 (et en même temps, y a t-il un enfant même non-unique de 3 ans qui n’aime pas qu’on s’intéresse à lui?) mon MisterBB ne rentre dans aucun cliché d’enfant unique mais alors le Top8, j’en peux juste plus de cette bêtise d’entendre « il va être malheureux »et autres, comme si on le condamnait à un sort atroce alors qu’au contraire, on pense à son bien…

    Comme toi, je pense que rien n’est écrit et « On veut souvent ce qu’on n’a pas, et on regrette souvent ce qu’on a. » 🙂

    Répondre
  4. Lunaly
    le

    Je suis fille unique et il y a certains points dans cet article où je me reconnais comme les amis imaginaires ainsi que pour la maturité mais par contre je ne suis pas d’accord avec l’histoire du partage. Mes parents m’ont toujours appris à partager avec les autres depuis mon plus jeune âge. Je ne veux pas dire mais j’ai déjà eu l’occasion de voir des personnes ayant une fratrie être des gros égoïstes et ne pas partager avec les autres, que ce soit des enfants ou des adultes!. Après je pense que c’est une histoire d’éducation selon moi.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Bien entendu, chaque enfant est unique et agit à sa manière. Il n’y a pas de vérités, ni pour les enfants seuls, ni pour les fratries.

      Répondre
  5. Geoffrey
    le

    Y a du vrai, perso, je suis enfant unique aussi, et j’avoue que quand je vois de grandes familles évoluer, j’ai un petit pincement au coeur. Les liens familliaux entre un frère et une soeur sont très forts. Parfois ça commence mal, tous les enfants se chamaillent, mais des années plus tard, c’est souvent bon de se soutenir par un frère ou une soeur, du moins, c’est ce que je perçois d’un oeil extérieur.

    Ma copine ne veut pas qu’on s’arrête à un, elle me juge trop égocentrique pour laisser notre fille en enfant unique :p et elle a halluciné lorsqu’un jour dans la voiture j’ai déclaré que je n’avais jamais joué « aux indiens » ou « au gendarme et au voleur » vu que j’étais le seul enfant de l’entourage.

    Après, les familles évoluent, on peut trouver des compagnons de jeux chez des couples d’amis. Je reste convaincu que le comportement/caractère d’un enfant unique aura toujours quelque chose de différent.

    Répondre
  6. aline
    le

    Mon loulou est fils unique.
    Longtemps j’avais dis que je ne voulais pas d’autres enfants, mais y’a que les imbéciles qui ne change pas d’avis.
    Mais visiblement, mon homme est un imbécile 😉

    Donc mon fils de 4 ans est un fils unique, un VRAI!! Il n’aime pas prêter ses jouets, celui qui oserait lui prendre risque sa vie lol
    il est pourri – gâté comme c’est pas possible …
    et pour résumé, il a tous les défauts d’un enfant unique et c’est pour cela que j’aimerai lui donner un petit frère ou une petite soeur.
    Le papa est lui aussi fils unique, et donc, ne voit pas les points négatifs d’un enfant seul.

    Malgré tout ces vilains défauts, j’aime mon fils (peut etre trop ) 🙂

    Répondre
  7. corinne0402
    le

    Bonjour,
    Mon fils unique a 15 ans et il n’a jamais éprouvé le besoin d’avoir des frères et soeurs. Et dans tous ces tops il n’y a que le top 7 qui le concerne ! Et j’assume totalement ! Et surtout je me fous complètement de ce que les gens peuvent dire. Ce que je constate par contre, c’est qu’il suscite parfois de la jalousie car évidemment étant enfant unique, il a ce qu’il veut, il n’a pas besoin de partager mais c’est un môme généreux et il n’est pas nécessaire de lui dire de partager avec les autres, il a des ami(e)s qu’il a choisi et pas une fratrie qu’il subit. Moi je viens d’une grande fratrie et j’ai toujours dis que je n’aurai qu’un enfant et je n’ai jamais éprouvé le besoin d’en faire un second et mon fils a toujours été heureux « tout seul » sans s’inventer des frères et soeurs. Pas non plus de fascination pour les histoires de frères et de soeurs, ni d’amis fictifs !! Il n’a pas non plus l’attitude d’un « enfant roi ». C’est aussi aux parents de ces enfants uniques de ne pas mettre la pression concernant leur avenir, la réussite sociale c’est peut-être bien mais leur bonheur c’est mieux ! Il y a beaucoup de clichés sur les enfants uniques qui je pense à notre époque me semble totalement obsolète !

    Répondre
    • Olivier
      le

      Encore une fois, c’est le poids de notre société qui pèse sur les parents et contribue à alimenter ces clichés. Après tout, chaque enfant est unique (et réagit comme tel), qu’il ait des frères ou soeurs ou non 🙂

      Répondre
  8. Valea
    le

    Fille unique je ne me reconnais pas !lol en revanche je l’ai mal vécu donc pas question d’avoir un seul enfant…..chacun caLife!lol

    Répondre
  9. Angélique
    le

    Moi je n’en ai qu’un mais comme mon conjoint a déjà une fille d’une précédente union personne ne nous embête pour ça.
    Par contre, la fille de mon conjoint vit comme enfant unique chez sa maman et je la retrouve pas mal dans ce top. Du coup quand elle vient à la maison elle pleure dès que l’on s’occupe trop de son frère. Elle aime beaucoup son frère mais à condition de pouvoir jouer avec et comme il est encore tout petit (8 mois) elle râle dès que son jouet doit faire la sieste, ou rester calme pour digérer le bib tranquillement. Hors de question de partager et maintenant elle préfère prendre les jouets de son frère (elle a 7 ans). Enfin on fait avec et on lui apprend petit à petit à ne pas être aussi égocentrique. Quand elle reste assez longtemps ça va mieux mais un retour chez maman et ses grands-parents maternels où elle est le centre du monde et ça repart.

    Tout ça pour dire que je pense que tout est une question d’éducation.
    Nous il y en aura peut-être un autre, on réfléchit encore car avec la famille recomposée c’est compliqué et je me dis que mon fils a déjà une grande soeur même si elle n’est pas toujours là.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Je n’ai sais pas si l’attitude de la fille de ton conjoint vient du fait qu’elle se comporte comme une enfant unique… peut-être est-ce simplement du à son âge, à ses ressentis et à plein d’autres facteurs. « l’enfant unique » a parfois bon dos ! 🙂
      En tout cas, tu as raison, tout est question d’éducation, d’écoute et de dialogue…

      Répondre
  10. netaddicta
    le

    Ici papa fils unique et nous étions d’accord pour ne pas avoir d’enfant unique. Je suis donc enceinte de bébé2 qui s’avère être une autre fille et là j’ai le droit à d’autres types de clichés « ah bon vous allez en faire un 3ème alors? ». Euh non c’est pas prévu je savais pas que de ne pas avoir de garçon signifiait avoir râté sa vie… A croire que quel que soit ton choix de famille, certains y trouvent à redire.

    Répondre
    • Olivier
      le

      C’est ça. Finalement, il existe des clichés pour chaque situation 🙂 On n’échappe pas. Mais que ça ne vous empêche pas de profiter pleinement de ce nouveau petite bonheur ! Tu viendras nous raconter, hein ?

      Répondre
  11. Maman Marmotte
    le

    Du haut de ses 20 mois Joli-coeur est fille unique et est persuadée que le monde n’a été créé que pour elle 😉
    Petite chérie de Papa et Maman, Trésor Adoré de ses grands-parents, elle serait bien partie pour être légérement égocentrique si la crèche (et les autres bambins qui y sont) ne remettait pas les pendules à l’heure.

    Je ne pense pas qu’un enfant unique soit plus ceci ou cela qu’un enfant élevé dans une fratrie.

    Par contre, je m’interroge beaucoup sur les – bons – liens familiaux et le soutien qu’ils peuvent apporter.

    Est-ce qu’un enfant unique et sans cousins/cousines ne risque pas de se retrouver très très seul une fois adulte ?
    A l’inverse, est-ce qu’un enfant élevé dans une fratrie pourra compter sur la solidarité familiale en cas de pépin ?

    En gros : et quand nous ne serons plus là, est-ce que Joli-coeur aura quelqu’un de confiance sur qui elle pourra compter quoi qu’il arrive.

    Maman Marmotte (qui n’a pas encore pris son jus d’orange).

    Répondre
    • Olivier
      le

      Tu poses les bonnes questions. En tout cas, celles qui nous agitent tous, que nous ayons un enfant unique ou pas. Et, pour être tout à fait honnête, j’ai pas la réponse (et ça me fout la trouille des fois).

      Répondre
  12. clairou
    le

    WTF les défauts des enfants uniques????????
    tout le monde à des défauts et il n en existe pas spéciaux pour les enfants uniques!!

    J en ai ras le c*l de ces p*****ns de clichés!!!

    fille unique et fière de l’être!!! jamais je n ai voulu de frères et soeurs (peut être vers 4 ans comme tout le monde)!!
    bon ok t as l air con quand on t offre 1 jeu de société à Noyel mais au pire t as des potes (ou pas…) !!!
    Surtout quand tes parents ne jouent pas avec toi…..

    Les liens fraternels sont idéalisés!! certains oui sont supers mais d autres se bouffent la gueule!

    Je n ai jamais eu d ami imaginaire mais je parle toute seule! et puis quoi au moins je suis d accord avec moi même quoique…

    Ma fille sera unique parceque je l ai décidé, je suis égocentrique et alors??
    je ne vais pas faire de 2nd pour lui tenir compagnie (on a 2 chiens) ou au cas où il lui arrive quelque chose (oui oui je l ai déjà entendu…)
    j ai une relation avec mes parents que je ne voudrait partager pour rien au monde!
    je suis jalouse de ma fille quand je les vois tout gaga normal ce sont MES parents!!

    quand ils partiront ma petite famille sera là pour me soutenir….

    Et soit dit en passant maintenant avec tous les jeux vidéos, les tablettes…. on s amuse très bien tout seul!! krkrkrkrkrkrkr

    Répondre
    • Laura
      le

      Je suis d’accord sur le fait qu’on a tous des défauts enfant unique ou pas mais quand je te lis, je ne peux m’empêcher de me dire que malgré toi tu les conforte.

      Déjà tu dis que tu ne souhaiterais pour rien au monde partager la relation que tu as avec tes parents.

      Ensuite, tu dis être jalouse de la relation que ta fille a avec eux (non mais là j’hallucine)

      Si ça ce n’est pas une preuve que tu es égocentrique et que tu ne sais pas partager!

      De plus, t’entendre dire que ta fille sera la pour te soutenir quand tu auras perdu tes parents me choque. Depuis quand c’est aux enfants de prendre soins de leur parents??? Tu te soutiendra toute seule comme une grande car ce n’est pas à ta fille d’éponger ta tristesse. Les enfants doivent garder leur place d’enfants, d’innocence. Ils grandiront bien assez vite et devrons eux aussi faire face aux épreuves de la vie.

      Répondre
  13. Isabelle
    le

    Étant fille unique je sais que ça peut être un gros manque… Ne serait-ce que pour être un peu moins sous le « feu » de l’attention des parents. J’ai des parents adorables mais très… protecteurs. Au point que j’ai mis les voiles une semaine après mes 18 ans. Une fois partie ça allait mieux, et je m’étend toujours très bien avec eux.
    Ma Petite Souris aura bientôt 1 an. Elle est arrivée alors qu’on ne l’attendait plus, notre p´tit miracle… A 40 ans pour moi et 50 pour le papa, la question du numéro 2 ne se posait même pas. D’autant que mon conjoint avait déjà un fils de 17 ans… C’est facile de comprendre que ce ne serait pas raisonnable… Eh bien pas pour tout le monde ! Plusieurs personnes m’ont demandé quand arriverait le prochain – sérieusement – et parlé d’enfant unique pourri gâté !!!
    On se demande…
    Il n’empêche que je me pose beaucoup de question sur la maman que je dois être. Et te lire me fait souvent réfléchir. Merci !

    Répondre
    • Olivier
      le

      Holala… ça montre bien qu’à coup de remarques toutes faites, on véhicule des stéréotypes sans même se rendre compte à quel point nos propos peuvent parfois être déplacés.
      Mais tu as raison : l’important, c’est de rester éveillé, en continuant à se poser des questions, même (surtout) quand on pense être sur la bonne voie ! 🙂

      Répondre
  14. Emma
    le

    Je suis fille unique, et je n’en ai jamais souffert. De plus, c’est un choix délibéré de mes parents. Enfant, j’ai toujours eu le droit d’inviter des amies à dormir à la maison, nous avons fait de nombreux voyages avec mes parents, et les moments de solitude cadrent avec ma particularité. Je voyais également souvent mes cousins. Durant mon adolescence, nous avons reçu des élèves étranger pour l’année à la maison, et j’ai tissé avec eux des liens très forts. Aujourd’hui, je n’ai pas de fratrie de sang, mais une fratrie de coeur, qui est aussi belle : mes amis. Je ne ressens absolument pas le manque d’un frère ou d’une soeur. Quant à la question du départ de mes parents, hélas un jour, ils ne veulent pas devenir un poids pour moi, et ils prendront les mesures nécessaires pour alléger ma tâche. Et encore une fois, pour affronter cette épreuve, je ne serai pas seule. Aujourd’hui, je n’ai pas (encore) d’enfant. Mais si je venais à en avoir, mon conjoint et moi le savons : il sera unique, comme sa maman, et aussi heureux qu’elle. Pour résumer, être enfant unique n’est pas une condamnation à une vie morose emplie de solitude, du moment que les parents font ce qu’il faut pour que leur enfant soit heureux. N’ayez pas peur d’assumer votre choix délibéré de l’enfant unique. Assumez.

    Répondre
  15. Cari
    le

    Je suis enfant unique ^^ je me retrouve surtout dans le cas n°4, par contre on m’a toujours appris à partager et a m’amuser seule.
    J’aurais bien voulu une petit frère ou une petite soeur mais j’ai cassé la machine. Et puis ou j’avoue j’ai été très gâtée mais je n’ai pas une t^te aussi grosse que la taille de la Terre.

    Bel article bourré d’humour ^^

    Répondre
  16. 01Claire
    le

    Bon, alors je suis d’une lignée de fille unique (fille et petite-fille d’enfant unique…) et ben c’est pas si terrible…Ok on entend pas mal de clichés: elle est pourrie, gâtée, elle est égoïste, etc, etc…oui, peut-être dans certains cas, on a plus de choses qu’une fratrie de 5 ou 6 enfants: pour faire n’importe quelles activités extra-scolaires, des études supérieures…mais on va vers les autres puisque à la maison il n’y a que des adultes…
    La maison certes c’est un beau cocon (où l’on adore se lover) mais très vite on s’ennuie..;il nous faut aller à la rencontre de l’Autre … et on fait pas mal de belles rencontres! J’ai encore mes copines d’enfance, plus un grand-père d’adoption (les miens étant partis trop vite!)
    Au départ, je pensais avoir un second enfant, mais c’était plus pour faire comme tout le monde qu’autre chose, une FILLE (pour jouer à la poupée…) car j’avais eu un garçon…là encore une idée tout faite de la famille parfaite (un garçon, puis une fille), mais très vite je me suis rendue compte que j’en demandais trop!
    Dame Nature ou le Bon Dieu ne font pas les BB à la carte (sexe, couleur d’oeil, etc)
    Trop exigente vis à vis de moi, je culpabilisais (les autres le font bien, pourquoi pas moi?), je me dévalorisais (tu vois tu n’es pas capable d’avoir un autre enfant car tu es toujours fatiguée, malade, etc…)
    En fait, cette famille là ne me correspond pas, ni même à mon cher et tendre (ainé de 5!) tout simplement
    Nous avons beaucoup à donner…et aussi beaucoup à recevoir de notre enfant
    Le deuxième n’aurait été qu’une « pale » copie sans cesse comparer au premier, avec qui je pense j’aurai été plus exigente…un enfer

    Répondre
    • Olivier
      le

      Ben voilà… tu résumes bien la situation : à chacun de faire en fonction de ses aspirations, sans céder au diktat de notre société qui veut qu’une famille parfait conjugue l’enfance au pluriel !

      Répondre
  17. Hanh O
    le

    Chaque famille est différente. Il faut juste trouver son équilibre, entre les histoires personnelles de chacun! De toute façon à moins d’avoir pile 2 enfants et encore, une fille et un garçon, ca ne va jamais. :p

    En ce qui nous concerne, j’en voulais plusieurs, pour plein de raisons, et l’homme un seul était suffisant. Finalement, on en aura deux (deux filles!!! :D), et se sera parfait! ^^ Même si on entend déjà des remarques pour faire un garçon…

    Répondre
  18. telma
    le

    Je suis d’une fratrie, franchement il n’y as rien a envier, en tant qu’enfant unique vous idealisez, la fratrie.
    La realité est toute autre, il ne faut pas oublier que dans une fratrie on a pas tous le même caractère, il y as plus de violence, de jalousie, d’orgueil, que d’esprit de frères et soeurs,
    a l’age adulte cela continue, parfois les liens sont définitivement couper, ils se voient uniquement pour l’enterrement des parents cela vous montre un avant gout de la fratrie.
    Il y as peut etre des fratries qui sont belle a voir, mais il y en a d’autre croyez moi, qui peuvent vous pourrir la vie obliger de supporter une fratrie toxique et destructeur, tenue par des parents a bout de nerf .
    J’ ai toujours admirer les familles a trois, parent, 1 enfant, qui sont plus souvent proches.

    Répondre
    • Olivier
      le

      Tu as raison. D’ailleurs, souvent, on veut ce que l’on a pas, en omettant la réalité des choses, qui n’est pas toujours aussi rose qu’on l’imagine.

      Répondre
  19. Cora poisson
    le

    Ahhh j ♡ bcp alors moi maman solo de ma fille lya 9 ans enfant unique pour le moment car separer du papa et depuis pfiouuu je devient dificile on va dire ca..je doit vous avouer que je me suis tjrs vu avec 2 enfants et lya depuis qq temps reclame un frere ou soeur et me dit j aurait pas de neveu… pas bete ma louloute … j y pense mais a 39 ans bientot saif si je rencontre un homme capable de nous suporter… a voir. D autant plus qu un enfant unique avec juste maman ou papa bouhhh c est pire car hyper proche et parfois dificile a gerer…oui mes potes la trouve tres mature (non stop avec elle..) oui on a handy chien labrador qu elle prend un peu comme sa soeur et confidente et wahouuu ce que ce chien nous apporte. Bref oui jme retrouve dans votre post . J ai la chance d avoir ma lya si je doit vivre et n avoir qu elle je serait heureuse apres le destin fera les choses … tic tac…

    Répondre
  20. Enfant (visiblement) vraiment unique (non vraiment 0,00000000000001% de chance que j'ai une fratrie cachée !)
    le

    Personnellement, je suis l’un des seuls fils uniques de mon entourage. Cependant, je connais deux autres camarades de mon âge qui le sont, et aucun n’est malheureux, leurs situations familiales ne sont pas tumultueuses (parents encore ensembles). Pourquoi est-ce que je parle de « situation familiales tumultueuses »? Déjà, ce que j’entends par cette expression, c’est que les parents se sont séparés de manière brutale et ne vivent plus ensembles depuis longtemps (je pense à un autre exemple de fils unique, l’un de mes amis). Pour beaucoup, si l’enfant est unique, c’est que quelque chose ne s’est pas bien passé dans le couple, et que donc les parents n’ont pas voulu d’autre enfants, et que chacun a eu le goût de rester célibataire. Eh oui, selon les clichés, un « bon couple » à toujours 2 enfants, et se préférence de sexes opposés, et rapprochés en âge. Or des fils ou des filles uniques peuvent parfaitement avoir une situation familiale « lambda » (j’utilise ce mot pour désigner ce qui a été longtemps considéré comme la norme, couple hétérosexuel ne s’étant jamais séparé et de préférence marié), sans être issus de parents célibataires. Mais surtout, quelque soit la situation familiale, être fils unique et heureux, et de surcroît habile en société et apprécié est possible (je témoigne) !
    Enfin, quant à ce que j’en pense d’être fils unique, ça a pu être variable au cours de l’enfance : parfois, je voulais une petite sœur, parfois un petit frère, parfois je tannais ma mère en inventant une sœur jumelle, mais je me disais souvent aussi que c’était un avantage, d’autant que les enfants à qui je disais que j’étais enfant unique m’envoient !
    Bon, c’est peu probable que mes parents auront d’autres enfants après moi. Donc j’écarte cette piste et je laisse ma mère tranquille. Par contre, en ce moment, je suis sur un délire : j’imagine qu’à 20 ans, mon père a fait un enfant avec un fille de 17 ans et que ce serait mon demi-frère ou ma demi-sœur caché(e), ou que mon père a perdu un très jeune enfant avant de rencontrer ma mère (mais encore une fois, c’est un scénario, inspiré d’un jeu vidéo de simulation de vie). Non, je suis officiellement fils unique, et accoutumé maintenant.

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    • Enfant (visiblement) vraiment unique (non vraiment 0,00000000000001% de chance que j'ai une fratrie cachée !)
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      Pardon je voulais dire qu’ils m’enviaient !

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